Travian

[Strabon]

Travian - 2004

Partie Préliminaire

Les jeux évoluent constamment. Avec le développement du net, nombreux fabriquent des espaces hystériques dédiés au multijoueur. En conséquence, on constate un arrivage massif d’individus, des personnes qui ne se connaissent pas forcément, mais qui vont apprendre à jouer ensemble, à découvrir un univers simultanément. Je parle bien entendu des parties en réseau. Les plateaux qui proposent ces éventualités sont variés, peu pourtant réussissent à émerger, à concurrencer les jeux vidéo de Gestion. Toutefois, quand l’un d’eux parvient tant bien que mal à s’extirper de la horde et surpasser certains critères d’appréciation, dans ces conditions, c’est l’explosion générale. Cet opus acquière une renommée phénoménale. Internet, quoi, c’est un réseau unique ou des millions de personnes surfent chaque jour, chaque minute, chaque seconde.

En l’occurrence, un opus qui plait bien sur le net verra sa cote métamorphosée, car tous les petits logiciels de publicité, en parallèle, marqueront l’empreinte des développeurs à l’origine de la pépite. Tout cela semble dérisoire en termes d’analyse, mais j’avais véritablement envie de m’attarder sur les effets dit « boule de neige » d’un jeu en réseau qui transcende les critiques négatives. Les gens affluent, les gens s’y attaquent comme pour une part de gâteau qui tend à être servie à des gourmands. Alors que finalement les jeux en réseau conservent une certaine simplicité/faiblesse par rapport aux jeux vidéo qui eux sont accomplis.

Les jeux en ligne ne développent pas cette plénitude, ils ne sont pas pour autant vidés de toute substance, mais on note cette réduction au niveau des détails, aussi surprenante soit-elle. Pourtant, les résultats demeurent épatants. Il faut en effet qu’ils répondent présents férocement pour espérer concurrencer les jeux vidéo. La bataille des jeux en ligne et des jeux vidéo n’a pas dit son dernier mot. Ainsi, les créateurs doivent suivre les tendances du net, et pondre la merveille de l’année ou de la décennie. C’est le cas de Travian, sorti en 2004. C'est l'histoire d'un jeu particulier qui a aujourd'hui atteint les sommets, si populaire, si riche, si extensible. Tant de qualités que nous allons indiquer In Infra. Tout d'abord, une présentation sera la bienvenue.


Présentation

Travian est un jeu de stratégie/gestion multijoueur conçu par nos voisins allemands, fabriqué en effet par Gerhard Müller, développé par Travian Games et à l'origine publié en juin 2004 sur le net. Bien entendu, Travian constitue un blockbuster des jeux en ligne du siècle, c’est incontestable.

Tout d’abord, qu’est-ce que c’est ? C'est assez simple à comprendre. En effet, cet opus permet au joueur de revivre l'Antiquité dans la peau d'un chef de faction. C'est vite dit, pour étoffer, en fait, on se trouve à la tête d'une civilisation: les Romains, les Germains ou les Gaulois et c'est parti. Jeu traditionnel qui met en exergue la gestion, la tactique et la pure stratégie. Autrement dit, des efforts intellectuels s'imposent, puisqu'on se confronte à de véritables joueurs humains. Alors que le joueur IA connait des limites, l'Homme sera, en l'occurrence, imprévisible et disproportionné dans ses actes ! Pour se lancer dans cet univers, Java sera votre meilleur ami. Outre le petit logiciel, on devra s'inscrire sur le site officiel ici. Puis, après, il ne suffit que de suivre les instructions. Souvent, on verra que le multijoueur offre des éventualités innombrables, des parties dantesques, on devrait normalement en sortir séduit. Let's Go For Impression Section ! Anglais pourri, je sais, pas étonnant si je viens de me taper un 3 en compréhension, je reste excusable, n'est ce pas ?


Remarque

Découvert en surfant bien entendu sur le net ! Et oui, comme je l'admettais ouvertement, les jeux célèbres auront tendance à apparaître de partout, sur tous les sites, mêmes les plus pourris. En l'occurrence, à force de voir la publicité s'afficher sur mon écran, je me suis forcé à aller voir. Je suis donc tombé dans le piège, mais pas complètement, puisque j'ai cessé tout contact depuis avec cet espace attachant. En tout cas, pour les esprits fébriles, attention, ce jeu risque de vous rendre dépendant. Du moins, vous êtes prévenus.


Impression

Ce jeu en ligne n’est pas ordinaire. Il surpasse les attentes d’un joueur normal. Du moins, quelle n’a été ma surprise en m’insérant dans une partie en mode multijoueur. Je me souviens de toutes les options, des nombreuses heures mémorables, une durabilité accrue, un aspect stratégique redoutable, bref, tout ce qu’un jeu en ligne devrait contenir pour séduire parfaitement/convenablement. Or, ce n’est pas le cas dans la réalité, peu sortent du lot. Travian devrait marquer son empreinte, même sur ce forum, peu importe la manière, tout comme sur le net il s’est positionné strictement en leader irréprochable. Bon, il y a d’autres jeux de stratégie/Gestion qui parviennent à relancer l’industrie Antique, mais comme c’est le seul que j’ai essayé à ce jour, je resterai ferme, soit le meilleur que j’ai testé depuis fort longtemps en réseau. Des occasions comme ça, c’est comme une éclipse, cela arrive tous les trente ans. Et encore, je suis plutôt généreux, car je ne suis pas exact dans mes propos. Scientifiquement, c'est plus long, on peut mentionner l'Éclipse solaire du 3 septembre 2081, j'envie les générations futures. Bon, trêve de plaisanterie, que doit on retenir de cet opus en ligne ? Nous verrons préalablement la forme & l'ambiance avant de traiter le fond.

Quand un jeu plait, on le voit efficacement sur son Forum Officiel. Alors, pour être clair d’entrée de jeu, sur la forme, on sort du cadre habituel. En effet, on quitte l’ambiance épanouissante des grands jeux de gestion, pour s’évaporer finalement sur internet. Du moins, c’est l’impression délivrée par cet opus. En fait, c’est assez misérable les graphismes, très enfantin, il n’y a pas d’atmosphère ingénieuse/évasive comme on pourrait le penser. Bref, on se trouve entièrement sur un site internet. Vulgaire, je suis assez cassant me diriez-vous mais c’est un peu ce qui me fait déguerpir, je ne me sens pas à ma place sur un réseau. Pourtant, nous verrons que sur le fond, les apports se caractérisent redoutablement. Mais, mais, sur la forme, ce n’est pas si brillant. M’enfin, je vais nuancer mes dires, car les développeurs se fichent entièrement que l’opus soit séduisant ou non, l’embellissement n’étant pas le critère principal exigé par les internautes. Autrement dit, les créateurs s’expérimentent davantage sur le rendu final. Soit l’alliance du fond et de la forme. En l’occurrence, on sera séduit sur le fond, pas sur la forme, mais on sera quand même captivé globalement.

Comme vous l'avez constaté, je n'ai pratiquement rien à dire sur la forme outre mes quelques critiques inutiles et suffisamment négatives. Cependant, j'ai décidé d'affilier la forme à l'ambiance. Car, outre une ambiance un peu futile (vous savez, je parle des décors, des musiques, des graphismes, des cinématiques, des images etc.), elle se formera réellement par le mode multijoueur. En effet, on sera alors transporté dans la partie, s'en même savoir comment et pourquoi ? Je pense qu'il y a un intérêt dés lors qu'on s'ambitionne à affronter des adversaires humains, aussi intelligents et violents que nous, souvent expérimentés et lourds, on devrait en ressortir plus clairvoyant. Niveau valeur ajoutée, incontestablement, on apprendra des notions sur la gestion, la tactique et la stratégie. On deviendra un Sun Tzu réincarné, sans nécessairement l'outrepasser. En fait, l'atmosphère dans un jeu en ligne, c'est uniquement le multijoueur, rien d'autre !

Je crois qu'il serait préférable de déballer quelques arguments sur le fond, car c'est le thème emblématique de Travian. C'est un peu la cerise sur le gâteau, la force du sujet abordé. On l'estimera en ce sens comme le cœur de notre topic. En fait, tout commence ici. Le reste, on s'en fiche complètement. En d'autres termes, l'attention de mon lecteur devrait débuter dès maintenant, jusqu'à la conclusion finale.

Alors, ça donne quoi le fond ? Eh bien, on s'évade remarquablement. Sans nécessairement atteindre le paroxysme, on pourra se glorifier des nombreux atouts Antiques perpétrés par les développeurs. En fait, jouer à Travian, c'est se casser la tête comme un gestionnaire qui fait ses comptes. Le point crucial reste obligatoirement le multijoueur. Je crois que je vais répéter ce terme en abondance dans ce sujet, alors, accrochez-vous !

Le multijoueur s'extériorise avec violence. Je ne rigole pas, l'aspect d'équipe, on entame des parties parfois gigantesques au niveau de la durabilité, on s'allie et on se corrompt soi-même, on abuse parfois de nos partenaires pour leur lancer un petit coup vicieux dans le dos, on se prend aussi des claques, on en ressort heureux. Bref, c'est l'extase. Cependant, avant de m'emporter dans des longues énumérations, je vais commencer par le début du début, donc, en l'occurrence, le mode de jeu.

On arrive sur la carte conflictuelle en tant que dirigeant, on doit s'occuper exactement de tout. Comme il est de coutume dans les jeux de Gestion, on situe en premier lieu notre fric. C'est un peu notre bébé outre les autres ressources et nos soldats. On doit le considérer minutieusement, investir avec précision, considérer subsidiairement nos adversaires. En clair, on se situe au centre, un milieu instable et imprévisible. Nos yeux se multiplieront pas 100, c'est certain. On transpirera intellectuellement, on chialera dès l'instant qu'on perdra du pouvoir ou des prérogatives sur nos biens, on s'émancipera en cas de victoire. On s'insultera si nos ennemis parviennent au cours d'une partie à nous surpasser militairement/économiquement. Dans tous les cas, on devrait normalement s'introduire facilement, je dis bien facilement, pour les joueurs les plus sensibles. Pour les plus voraces comme moi, il en faut davantage. Cependant, je crois que cet opus m'a convaincu sur divers points.

En effet, on constate quelques points forts qu'il faut nécessairement mentionner. D'abord, c'est le glissement dans l'Antiquité très bien réussi par les développeurs. On se situe dans un monde à la Astérix et Obélix, je pense en fait aux images fantastiques et chimériques. D'autre part, on sera heureux d'incarner le grand gestionnaire de notre village, on s'occupera exactement de tout. On se glorifiera, en passant, des héros formés minutieusement, selon notre considération, parfois avec élégance, trop souvent avec extravagance. Les trois factions demeurent suffisamment intéressantes bien qu'elles ne résument pas fidèlement cette période de l'histoire. Si l'Antiquité indiquait uniquement les Gaulois, les Romains et les Germains, elle ne serait pas aussi ésotérique. Il est dommage sur ce coup d'avoir évincé un grand nombre de factions, je pense notamment à la Grèce, à l'Espagne, à toute cette diversité barbare (nombreux peuples), mais aussi au monde Africain et Arabe. Quoi, on soutient un jeu incomplet et assez hilarant sur le fond. Cependant, on affaiblira cette critique car cet opus maintient une très belle cohérence au niveau de la jouabilité. Je crois d'ailleurs que les développeurs de jeux en ligne se partagent le marché en décidant chacun d'intéresser le joueur sur une partie du monde, et ne tentent jamais de consolider l'entier territoire Antique, qui va de l'Espagne jusqu'au frontière de l'Inde pour rappel.

D'ailleurs, l'Antiquité concerne le monde, mais ma vision demeure suffisamment réduite pour m'attirer. Personnellement, l'Antiquité Chinoise, je m'en fiche un peu (scandale !), mais arriver à fabriquer un jeu sur trois factions seulement pour guise d'histoire Antique, c'est incompréhensible. C'est inacceptable. Pour autant, comme je le mentionnais, on sera surpris par le mode Gestion, par toutes les éventualités. On en fait très vite le tour, car il n'y a que trois factions. Du moins, en solo, c'est cet esprit néfaste qui semble surpasser les critiques positives.

Le second point fort se manifeste par le multijoueur. Outre, encore une fois, ce manque cruel de factions, on sera heureux d'entamer diverses parties avec des joueurs humains. Des passionnés souvent futiles dans leur comportement. Ils vous sortiront des belles paroles, par derrière, ils s'accoutumeront dans des négociations avec vos ennemis pour s'accaparer votre village. L'histoire, de ce fait, ressort généreusement par l'attitude des joueurs. En fait, on n'est pas aussi différent des peuples vivant sur cette planète il y a maintenant 2000 ans. On tend même à réitérer les exploits du passé, des exploits qui passent inexorablement par les trahisons et le sang. Bien entendu, tout cela se concrétise sur un espace long, on n'arrive pas à prendre le pouvoir en quelques parties.

Niveau durabilité, c'est très fort. La controverse survient dans cette idée de dépendance. J'aurai tendance à revenir dessus In Infra. En tout état de cause, cet opus en ligne mérite bien son succès, bien que la déception témoigne davantage de mon point de vue. Je n'ai pas apprécié cette limitation sur le territoire européen, cet évincement de nombreuses factions. Bref, le point noir du jeu, c'est la réduction des civilisations. Pour autant, une jouissance bizarre devrait se cristalliser, normalement.


Conclusion

Un opus immersif. On trouve des millions de jeux proposés sur internet mais peu ressortent raisonnablement au niveau de la qualité et de la durabilité. En l’occurrence, on peut aller au-delà de ce simple constat, on peut par exemple mentionner la fidélité mêlée à la dérision. En effet, on garde les grands principes de l’Antiquité tout en dérivant selon les ambitions/envies du joueur. On ne suit pas réellement un parfait cheminement historique, mais dans l’ensemble, on sera suffisamment surpris et c’est l’essentiel. Une chose que je déplore malheureusement, c’est la réduction des factions. Uniquement trois, on pourrait largement espérer plus, mais les développeurs cristallisent une générosité réduite sur ce coup-là.

Bien entendu, on atténuera cette critique puisque dans sa globalité, l’espace multijoueur est très bien structuré, tout est idéalement détaillé, on n’est pas perdu ou dépassé par les événements. On ne cachera pas non plus le point crucial : la gratuité. En quelques clics, on sera projeté dans un univers parallèle, il suffit en passant de mettre un fond sonore barbare pour qu’on soit totalement emporté. Les créateurs n’ont pas manqué un seul détail sur la simplicité. Cet opus ne s’extériorise pas sur de la rigidité, comme un bloc dur et dissuasif, au contraire, l’effet se distingue davantage comme un aimant. Ne dit-on pas que ce mini-jeu de plateau a rendu accroc des millions de joueurs à travers le monde ? Il semble que si, et cela se traduit par l’aisance, la fluidité, la facilité à rentrer dans cet espace multiséculaire. On ne sera pas forcément ébahis, mais on ne sera pas non plus déçu.

Les plus faibles intellectuellement tomberont dans le piège et seront abusés par l’ambiance du multijoueur. Les plus audacieux s’attarderont, s’y hasarderont, mais n’iront pas jusqu’à détruire leur vie réelle au profit d’un jeu virtuel. Enfin, il y a les joueurs passagers, les plus volatiles et les plus intenables, je ne suis pas spécialement fanatique des jeux multijoueurs. L’ayant testé loin de chez moi, indirectement d’ailleurs, je n’ai pas trouvé une vive émotion. Cependant, cet opus devrait en séduire plus d’un pour son authenticité, son originalité et sa persuasion. Quelle force au niveau stratégique, tactique et Gestion ! Les trois unis fabriquent un monde inattendu et extrêmement jouissif. Ce ne sera jamais mon cas, mais à consulter au moins une fois dans sa vie.


Ouverture sur une controverse récurrente

La controverse s'extériorise simplement et surpasse cet univers perpétré par les développeurs en 2004. En fait, la problématique des jeux en ligne, si bien dit par Stilgar, est le risque fort de dépendance. Les plus vulnérables tomberont dans le piège. On le voit par exemple avec les World of Warcraft, mais ce n'est pas tout, la difficulté est d'autant plus générale. Tous les jeux situant le joueur dans un monde ouvert et sans fin provoquent l'extase, une extase qui peut s'avérer dangereuse dans nombreux cas. Prenons pour point de départ cette vidéo ici. Eh bien, on constate l'endoctrinement de l'enfant, il n'a plus aucune vie, et on remarque que le comportement extravagant peut aller très loin. Notamment, on s'insurge quand le PC ne fonctionne pas, on devient à moitié cinglé, seul le psychologue pourra aider le joueur à retrouver une vie presque normale. Les séquelles risquent de demeurer malheureusement, en tout cas, pour les proches et l'enfant lui même. Il existe des millions d'articles qui mettent en exergue cette dangerosité des jeux vidéo, tout particulièrement les jeux en réseau. Comme ils se caractérisent par un univers infini, nombreux manifestent un emportement redoutable, oubliant qui ils sont.

Dans un Article du Monde faisant le buzz sur le net, provoquant une indignation générale, un Sud-Coréen accro aux jeux vidéo laissait son fils mourir de faim en 2014. Voici un exemple parmi tant d'autres, il n'est pas resté isolé malheureusement. Revenons en France maintenant, un témoignage percutant d'un jeune homme ici démontrait tous les méfaits produits par ce glissement du réel vers le virtuel. Le problème, c'est qu'on ne s'en rend même pas compte. Pour mon cas, je me souviens avoir jeté un stylo de toute ma force sur mon armoire parce que je n'arrivais pas à outrepasser mon ennemi. Déplorable quand on y pense. La morale de l'histoire est de rester toujours vigilant à l'égard des jeux en ligne, mais plus souvent des jeux vidéo dans son sens global, ne pas perdre de vue son existence réelle. Certes, on peut trouver de la joie, de la jouissance dans les jeux vidéo, mais avec modération. Si vous sentez ce besoin inexorable de jouer, si vous estimez que le monde dans lequel vous vivez n'est plus aussi intéressant que votre bon vieux Warcraft, solutionnez immédiatement le problème ! Je ne vous conseillerais pas d'aller voir un psychologue ou autre, mais uniquement de connaitre vos limites. Comme le sport en fait, jouer, d'accord, mais jouer raisonnablement.


Quelques Aperçus

On remerciera Travian French pour ses nombreuses vidéos.

Je me permets d'enrichir la présentation avec ce message d'Altanar. Merci

C'est surtout qu'il faut être connecté régulièrement. C'est ça le plus dangereux dans ce jeu.

j'ai quelques RC que j'ai gardé de cette époque qui devraient vous donner une idée:

Spoiler:

ça c'est le rasage d'une capitale adverse.

Spoiler:

ça c'est mon plus gros RC

Spoiler:

Là c'est pour bien comprendre l'organisation que cela demande. Il y a la conso par heure. Si je me souviens bien, il y avait 4-5 heures d'autonomie pour nourrir les troupes.
Heureusement, j'avais du monde derrière pour m'aider en connexion sur le compte et en ressources envoyées lorsque les troupes sont sorties.
C'était lors de ma dernière partie.

[Vae Victis]

Ah ce jeu il est unique j'en ai passer des heures dessus

[Strabon]

Je terminerai le sujet demain, pas le courage pour ce soir, trop fatigué.

Ah ce jeu il est unique j'en ai passer des heures dessus

Ton enthousiasme s'apparente au mien quand je l'ai découvert. Aujourd'hui, il tend à se dissiper, mais s'introduire dans cet opus, c'est y laisser sa chemise, son pantalon, bref, toute sa vie ! Du moins, pour le dingue de l'ordinateur, clairement, il en ressortira pas vivant. Moi, j'ai survécu et tourné la page, avec de très bons souvenirs à la clé.

[Stilgar]

C'est de la saloperie à l'état pur, comme la plupart des jeux de ce type. Et je pèse mes mots. Ces boîtes vivent sur des ados ou des gens à moitié au chômage, à moitié coupés du monde, c'est à la limite de l'extraction volontaire. Heureusement, après plusieurs années de rapports d'autorités sanitaires, des encadrements sont en cours de réflexion. C'est un moindre mal.

[Strabon]

C'est de la saloperie à l'état pur, comme la plupart des jeux de ce type. Et je pèse mes mots. Ces boîtes vivent sur des ados ou des gens à moitié au chômage, à moitié coupés du monde, c'est à la limite de l'extraction volontaire. Heureusement, après plusieurs années de rapports d'autorités sanitaires, des encadrements sont en cours de réflexion. C'est un moindre mal.

Eh bien, voici un message qui soutient parfaitement mes propos. Attention, ce jeu est dangereux, fuyez le aussi vite que possible avant qu'il vous rattrape.

Pour autant, j'ai quand même passé de très beaux moments dessus, mais l'addiction est certaine malheureusement.

[Altanar]

En tant qu'ex Top 1 sur ce jeux, hélas oui, je ne peux que confirmer ce que vous dites.

L'une des choses positives cependant, c'est qu'on en apprend pas mal sur l'être humain et sa fourberie.

Par contre dans la 1ère vidéo, un type dit n'importe quoi. Quand tu es gaulois, tu ne fais pas de cachette (à moins de vouloir faire le frigo) mais tu pilles à la phalange pour sortir les éclairs le plus vite possible.

[Vae Victis]

Je terminerai le sujet demain, pas le courage pour ce soir, trop fatigué.



Ton enthousiasme s'apparente au mien quand je l'ai découvert. Aujourd'hui, il tend à se dissiper, mais s'introduire dans cet opus, c'est y laisser sa chemise, son pantalon, bref, toute sa vie ! Du moins, pour le dingue de l'ordinateur, clairement, il en ressortira pas vivant. Moi, j'ai survécu et tourné la page, avec de très bons souvenirs à la clé.

Oui moi j'ai plus de bon souvenir sur Woodwar par contre pour ma part Travian je jouait solo

[Strabon]

J'ai terminé mon sujet, bon, comme la communauté n'est pas très enthousiasmée par le multijoueur des jeux en ligne, je crois que je vais approfondir davantage les grands jeux de stratégie. Je réclamerai ainsi l'aide de Vae Victis pour Age of Empires !

*fais d'autres vidéos en ce sens sur ta chaîne youtube*

[Melitas]

Bah , le soucis pour ces jeux , c'est qu'il faut tres souvent être connecter au jeu et bien souvent sur ce genre de jeu , il faut tres souvent payer . Je me souviens plus de ce jeu en particulier car j'y ai joué y a très longtemps.

[Altanar]

C'est surtout qu'il faut être connecté régulièrement. C'est ça le plus dangereux dans ce jeu.

j'ai quelques RC que j'ai gardé de cette époque qui devraient vous donner une idée:

Spoiler:

ça c'est le rasage d'une capitale adverse.

Spoiler:

ça c'est mon plus gros RC

Spoiler:

Là c'est pour bien comprendre l'organisation que cela demande. Il y a la conso par heure. Si je me souviens bien, il y avait 4-5 heures d'autonomie pour nourrir les troupes.
Heureusement, j'avais du monde derrière pour m'aider en connexion sur le compte et en ressources envoyées lorsque les troupes sont sorties.
C'était lors de ma dernière partie.

[Vae Victis]

J'ai terminé mon sujet, bon, comme la communauté n'est pas très enthousiasmée par le multijoueur des jeux en ligne, je crois que je vais approfondir davantage les grands jeux de stratégie. Je réclamerai ainsi l'aide de Vae Victis pour Age of Empires !

*fais d'autres vidéos en ce sens sur ta chaîne youtube*

Je vais m'y mettre prochainement (surement une voir 2 pour la fin de la semaine)

[Strabon]

C'est surtout qu'il faut être connecté régulièrement. C'est ça le plus dangereux dans ce jeu.

j'ai quelques RC que j'ai gardé de cette époque qui devraient vous donner une idée:

Spoiler:

ça c'est le rasage d'une capitale adverse.

Spoiler:

ça c'est mon plus gros RC

Spoiler:

Là c'est pour bien comprendre l'organisation que cela demande. Il y a la conso par heure. Si je me souviens bien, il y avait 4-5 heures d'autonomie pour nourrir les troupes.
Heureusement, j'avais du monde derrière pour m'aider en connexion sur le compte et en ressources envoyées lorsque les troupes sont sorties.
C'était lors de ma dernière partie.

La grosse difficulté des jeux en ligne, la connexion instantanée, en plus, les parties durent généralement des jours et des jours. Et dès l'instant qu'on souhaite approfondir, on se rend compte qu'on devient complètement abruti par le jeu. On n'a plus de vie et c'est bien dommage ! Tant qu'on ne finit pas comme ce gars ici , bon, je l'avoue, il y a du chemin à faire pour atteindre son niveau, mais quand même ... :degout:

En passant, j'ai transféré ton message dans la présentation du sujet, permet d'enrichir un peu

[WarDawn]

On dirait guerre tribals / Tribal wars.

[Asair123]

Pour moi, c'est clairement le genre de jeu qui fait chier. J'ai joué à Grepolis sur quelques années, et j'ai décidé de complètement arrêter. Maintenant, quand je joue en réseau, c'est soit des jeux comme aoe2 ou des mmorpg, et particulièrement Drakensang Online, sur lequel je passe du temps actuellement, et ce après des périodes d'arrêt où je jouait à autre chose.

Wardawn, ça ressemble à guerre tribale, parce que c'est tout simplement des jeux de la même espèce, des jeux par navigateur, comme grepolis, ikariam, lord of ultima, nemexia et j'en passe. C'est des jeux où il faut se connecter tous les jours pour ne pas être en retard sur les joueurs qui nous entourent. C'est pour cela que ce type de jeu est énormément addictif.

[Le5Pacificateur]

Bonjours tout le monde; je rejoins les propos de Stilgar. ce style de jeux à la Ogame c'est une arnaque pure et dure.
Il se dit d'être du freetoplay mais en réalité pour pouvoir jouer à ces jeux et rester compétitive et pour en profiter pleinement: il faut sortir le porte-monnaie.
Et malheureusement beaucoup de gens tombent dans ce piège et dépense sans compter; sans oublier le temps de jeu qu'il faut y passer.

Pour ma part le seul jeu online que j'ai vraiment apprécié c'était méchrage; car j'arrivais à me maintenir dans le haut niveau (top 100) sans avoir dépensé un sous tout en jouant un au minimum (avec des journées afk). J'y ai joué pendant environ 7 mois.