Interview très intéressante avec Louis Godart, le compositeur du jeu Pharaoh: A New Era.
On a causé arrangements orientaux avec Louis Godart, compositeur sur le remake Pharaoh : A New Era
Gamekult.com
On a causé arrangements orientaux avec Louis Godart, compositeur sur le remake Pharaoh : A New Era
Propulsé par Dotemu et développé par le studio rennais Triskell Interactive, Pharaoh : A New Era prévoit de ressusciter l'an prochain l'esprit si particulier du légendaire Pharaon, empereur parmi les empereurs du jeu de gestion/construction. Après nos premières impressions sur la démo alpha non jouable, voici venir l'interview de Louis Godart, compositeur aux affaires sur le jeu. On discute avec lui de sa manière d'approcher ce remake, d'instruments orientaux et de cette communauté fiévreuse qu'il sera question de ne pas décevoir.
Comment t'es-tu retrouvé sur le projet Pharaoh : A New Era ?
Louis Godart : Ça fait deux ans que je suis adhérent à l'association Atlangames, qui est un cluster de pros du jeu vidéo dans l'ouest de la France. C'est là que j'ai rencontré Théophile même si ça fait en tout une demi-douzaine d'années que je gravite dans le milieu du jeu vidéo indé de l'ouest de la France. J'ai notamment travaillé avec Alkemi. Et du coup, à force d'aller à des évènements, eh bien on rencontre des gens. On en avait parlé, je savais qu'il travaillait là-dessus, moi dans ce cas-là je n'hésite à me présenter, haha. Il me semble qu'il avait pitché l'idée à plusieurs personnes, mais j'ai l'impression que les gens ont eu un peu peur de s'attaquer à ce projet-là, notamment lorsqu'il s'agissait de sound designers moins spécialisés en musique. Et dans l'entourage proche, géographique comme social, ils ont estimé que j'étais le bon choix. Donc on a commencé à discuter du projet.
Comment t'es-tu retrouvé sur le projet Pharaoh : A New Era ?
Louis Godart : Ça fait deux ans que je suis adhérent à l'association Atlangames, qui est un cluster de pros du jeu vidéo dans l'ouest de la France. C'est là que j'ai rencontré Théophile même si ça fait en tout une demi-douzaine d'années que je gravite dans le milieu du jeu vidéo indé de l'ouest de la France. J'ai notamment travaillé avec Alkemi. Et du coup, à force d'aller à des évènements, eh bien on rencontre des gens. On en avait parlé, je savais qu'il travaillait là-dessus, moi dans ce cas-là je n'hésite à me présenter, haha. Il me semble qu'il avait pitché l'idée à plusieurs personnes, mais j'ai l'impression que les gens ont eu un peu peur de s'attaquer à ce projet-là, notamment lorsqu'il s'agissait de sound designers moins spécialisés en musique. Et dans l'entourage proche, géographique comme social, ils ont estimé que j'étais le bon choix. Donc on a commencé à discuter du projet.
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