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  • [NTW] Récit, Stratégie, Gameplay

    J'ai test? un combat , "? la Murat".
    -------------------------------------------------------------------

    Napol?on assi?ge Vienne, et Massena est dans la foret non loin, en embuscade. Tout deux venus par la route de Bavi?re.
    Murat arrive en renfort par la route de Venise.

    2 arm?es Autrichiennes arrivent par le Nord sur Vienne, et une par le sud venant de Zagreb.

    Massena saute sur une des 2 arm?es, et le petit Corse l?ve son si?ge (...)pour accrocher l'autre. Murat arrive en douce pour prendre par derri?re l'arm?e de Zagreb. (il chevauchait dans la foret sous la montagne)

    3 arm?es au 3/4 pour les Fran?ais, et 3 arm?es full pour les Autrichiens.(difficult? normal)
    Napol?on: 8 unit?s d'artillerie 9 livres(moyenne sur 6/12 livres), 2 de cavaliers, et de la ligne dont une de moustachues de la vieille garde.
    Massena: ?quilibr? , 4 artilleries, 2 cavaliers, lignes + 2 voltigeurs.
    Murat: 2 artillerie,8 unit?s de cavalerie, 4 de ligne..

    Napoleon, formation mixte, donc de l'artillerie tout le long de la ligne. Cavaliers retranch?s.
    Le moral de l'ennemi flanche d?j? d? les premiers coups de canons, mais la ligne adverse avance au tambour en gardant les rangs. 2 unit?s de cavaliers se font la diagonale devant ma ligne...
    - Ont attend!..
    Ordre de changer pour la mitraille sur tous mes canons et cesser le feu.
    -Ont attend encore!!
    -Feu!!!
    Plus rien devant, pas un gigot de cheval qui bougeotte. Juste la poussi?re au loin de la ligne Autrichienne qui vient l?.
    -Artillerie feu ? volont? aux boulets!
    ?a clignote sec dans les rangs ennemis, d'autant que leur g?n?ral vient de tomber. Mais les boulets ne suffisent pas encore ? faire monter la panique.
    Ma ligne est plus faible que la leur, moins nombreuse en soldats, ? la r?guli?re ils risquent de faire des d?g?ts s?v?res dans mes rangs.
    -Cesser le feu d'artillerie! balancez sur mitraille!
    L'ennemi pause une large ligne de front ? distance de tir, sans voltigeurs ni chasseurs dans mon arm?e, nous tireront en m?me temps qu'eux...
    L'ennemi est paus?, la p?tarade commence de partout, j'attends que toute la ligne Autrichienne soit fix?e, et donc ? distance de mes canons.
    -Feu ? volont?! envoyez la mitraille!!
    Carnage aux premiers tirs de canons, sous la fum?e noire et blanche quelques unit?s de ligne prennent d?j? leurs jambes ? leurs coups. Il faudra peu de temps avant que toute l'arm?e Autrichienne prenne la fuite. Les canons repassent en boulets pour maintenir l'ascendant, certains se reprendront plus loin, et tenteront de revenir au combat, mais moins nombreux et sans formation solide, il iront ? leur mort.
    Alors que mes cavaliers vont tranquillement d?faire les artilleurs adverses,Napol?on tombe de cheval sous le coup d'un boulet. Il sera port? en ambulance jusqu'? Paris pendant un temps.

    Massena engage une arm?e similaire, avec moins de canons, il choisira une formation d'assaut. Artilleurs, voltigeurs, et cavaliers en bout de ligne.
    Les boulets font peu de d?g?ts pendant l'avanc?e Autrichienne, qui choisi elle d'envoyer cette fois ses cavaliers sur mes flancs.
    Avec mes voltigeurs et leur tir longue distance, mes canons en ext?rieurs de ligne, et ma cavalerie de chasseurs en support feu et sabres, point de salut pour les mont?s adverses. Rares d'entre eux quitteront le champ de bataille vivant sous la fuite...
    Les tambours Autrichiens se font entendre dans mes rangs, ils sont l?. S'alignent pour certains, mais d'autres unit?s viennent plus pr?s, ?a chauffe pour le corps ? corps.
    Mes canons ne peuvent tous les maintenir ? distance, c'est fusil contre fusil jusqu'? ce que deux unit?s ennemis chargent ma ligne ? la ba?onnette.
    Heureusement, mes cavaliers sont frais et dispo, ils arrivent tr?s vite pour sabrer l'Autrichien, et le refouler de mes lignes.
    Le combat se stabilise en rangs contre rangs, mes hommes tombent... les leurs aussi.
    Mon artillerie ? distance de mitraille fait la diff?rence dans le temps, la leur est trop ?loign?e pour etre v?ritablement dangereuse. La balance se fait petit ? petit, et l'arm?e ennemie d?croche.


    Murat alpague les Tyroliens au sud de Vienne. Il a le d?savantage d'etre moins nombreux qu'eux sur le champ de bataille. Et somme toute pas vraiment le choix d'une formation quelconque, sa ligne est pauvre, il ne peut attendre les Autrichiens ? la r?guli?re.
    La ligne sont les jeunes du Mar?chal Ney, sans galons. Mais il ? avec lui les lanciers de Lannes, des fous furieux, qui n'ont d'?gal que les branques chasseurs mont?s sous ses ordres depuis bien longtemps. Avec Murat ? leur t?te, c'est une arm?e d'oiseaux de toutes les couleurs qui chevauchera vers la gloire... ou le suicide.
    Plein face, en rangs serr?s, les Autrichiens offrent d?j? ? la vue une immense arm?e que la poussi?re trahis sur la plaine.... paradis des chevaux..
    Sans attendre, Murat envois le corps de lanciers sur la gauche, contourner les hommes en blanc, et supprimer au plus vite l'artillerie adverse.
    De m?me ses chasseurs mont?s prennent eux le flanc droit, visant l'autre point d'artilleurs.
    Les jeunes de ligne de Ney tremblent d?j? devant l'arm?e d'en face, trois fois plus nombreuse en hommes de rang. Murat d?cide alors de rester avec eux, plut?t que de prendre la t?te de ses chasseurs...
    Les tueurs de Lannes sont d?j? sur l'arri?re, et suppriment si vite les hommes d'artillerie qu'il n'y en aura pas pour tout le monde.
    Les hommes en vert, et rouge, et blanc, et jaune, et ? plume, de Murat.., finissent eux aussi le travail sur la droite, annihilant les canons Autrichiens.
    L'arm?e du Tyrol arrive ? distance de tir sur les malheureux Fran?ais, il faut faire vite pour les cavaliers, rejoindre la bataille avant le chaos, avant que leur chef ne soit sans issue.
    Murat encourage la ligne comme il peut, et aper?ois au loin...par dessus la fum?e blanche des mousquets, un nuage blanc, plus haut et compact, ses cavaliers arrivant au triple galop dans le dos de l'ennemi.
    Les hommes de Lannes sont en formation de p?n?tration, le fameux diamant de la charge, et d?foncent litt?ralement plusieurs unit?s Autrichiennes sur la premi?re passe...
    Les chasseurs de Murat sont en ligne, envoient une salve ? distance de tir et bondissent sabre en main sur l'aile droite..
    Pendant un bref instant, c'est la cacophonie g?n?rale sur le champ de bataille, les Autrichiens sont choqu?s,les cavaliers fous furieux, et les hommes de Ney, la peur au ventre, se disent que le soleil n'a pas eu raison de se lever en ce jour...
    Mais apr?s l'effet de surprise, d?vastateur, les uniformes blanc se reprennent, ajustent leurs formations, et commence un travail de sape sur les cavaliers.
    Les brutes de Lannes, entour?s, savent qu'ils ne peuvent plus s'?loigner pour se reformer, tant qu'ils sont au corps ? corps, ils peuvent esp?rer ?viter les tirs, au moins quelques temps.Mais finalement submerg?s par les ba?onnettes, succomberont sous la masse , peu d'entre eux r?ussiront ? s'enfuir.
    Les chasseurs multicolores de Murat ne sont pas mieux ? l'affaire, et c'est sans surprise qu'ils voient leur chef se m?ler ? eux pour un combat de vaillants, apr?s que celui-ci ai r?ussi ? tuer le g?n?ral Autrichien.
    C'est finalement la d?b?cle au Tyrol, le Mar?chal et ses troupes, d'un moral de fer et sans faille, remportent la bataille, avec de lourdes pertes.
    Les survivants de Ney ont m?rit?s leur premiers galons.
    Les rescap?s de Lannes seront affect?s ? la cavalerie de Murat
    Et les chasseurs mont?s....vert, rouge, blanc, jaune... et ? plumes, cherchent au repos de Vienne, une nouvelle couleur ? ajouter ? leurs vestes...

  • #2
    Passionant récit que tu nous livres, merci

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    • #3
      Je ne vais pas vous faire un r?cit aussi long et passionnant que celui de Sha Hal Zam mais vous parler d'une strat?gie que j'ai rencontr? en multi et que j'ai trouv? particuli?rement aga?ante. Donc voila, mon adversaire choisi comme arm?e la France elle est compos? de seulement deux types d'unit?s: Artillerie ? pied de 12 livres avec une port?e de 600 et (4-5 si me je souviens bien) et le reste uniquement de l'infanterie l?g?re qui peut poser des pieux (donc chasseurs ou voltigeurs) et qui poss?de en plus une port?e plus importante que les autres infanteries.
      Donc sa strat?gie est simple, il alligne son artillerie qui me pillone d?s le d?but et place son infanterie sur la m?me ligne en posant des pieux pour ?viter la cavalerie. Je me fais donc gentillement pilloner et le temps que mon infanterie arrive ? hauteur de tir je me prend une salve. Son artillerie passe ensuite en mode tir ? la mitraille et hop voila mon arm?e r?duite et la d?faite ? l'ordre du jour.

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      • #4
        Je ne suis pas joueur multi, mais dans le fond, il ? propos? une formation type, qui peut donc etre contr?e par une autre formation type.

        Son avantage, c'est qu'il s'attend ? rencontrer des joueurs avec une formation homog?ne, et donc souvent avec une avanc?e au pas et quelques chevaux, quelques canons. Il t'attend comme un mitrailleur dans son blockhaus sur la plage d'Omaha Beach...
        Si tu avait eu beaucoup de cavalerie, je pense que sa formation n'aurait pas tenue longtemps sur un contournement au galop par ses deux flancs.

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        • #5
          je trouve excellent ce topic, merci

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          • #6
            Hiver 1806...La Guerre des nerfs...

            L'Autriche en guerre se fait envahissante. La Bavière brule , et le Wurtemberg est déjà foulé par les espions de Vienne et les escouades rapides de Franz 1er.
            Le vieux renard Koutousof, profitant du traité éternel avec les grands de Vienne à été vue en Bohême par Jomini ,ami du maréchal Ney,et en conseiller stratégique hors pair, glisse à l'oreille de Napoléon les intentions du général Russe. Mettre en place une longue ligne de ravitaillement de Moscou jusqu'à Stuttgart.
            A Hanovre , Jean-Baptiste Bernadotte est dans une position inconfortable entre le gros de l'armée Prussienne à Berlin, et l'avant poste de Cléves.
            Nelson aux portes d'Amsterdam avec sa flotte, peut à tout moment faire débarquer des troupes Anglaises en Hollande ou en Flandre, et prendre de vitesse l'armée Française sur Paris...

            -Paris!! conseille-tons à Napoléon - Il faut protéger Paris!!
            -C'est Vienne qu'il faut attaquer!! enlever tout espoir aux Autrichiens! et le plus vite possible! dit-ont, au deuxième rang des officiers
            Ney et Davout se mettent d'accord. - Il faut aller à la rencontre de Koutousof, il n'a aucun ennemi sur ces terres à par nous, et s'il réuni son armée en Bohème, il tiendra l'Est de l'Europe pour les dix années à venir!!!

            Regardant Jomini du coin de l'œil,et esquissant un sourire complisse et précieux, Napoléon, alors focalisé sur ses cartes d'état major, le buste fortement appuyé sur ses deux mains, se redresse avec vigueur et se tourne vers ses généraux.
            Sont sourire laisse alors place à un visage sévère, et ses deux mains maintenant dans le dos, entame quelques pas francs en direction de la fenêtre ouverte, malgré le froid et la neige.
            Il contemple le ciel , et dit..
            -N'interrompez jamais un ennemi qui est en train de faire une erreur!
            C'est à ces mots et sur les visages blêmes des généraux que Jomini esquisse alors le même sourire que l'Empereur.

            -Avec de l'audace, ont peut tout entreprendre! dit napoléon.-Ont peut tout entreprendre , mais ont ne peut tout faire! ajoute t'il.
            -Pourquoi déclarer la guerre avec ceux qui le sont déjà?! - Ils nous attendent!? -Et bien qu'ils attendent!
            -C'est l'hiver, et Koutousof le sait mieux que quiconque, attaquer sous la neige quand ont à le choix de l'embuscade, de la date, et de la force, serait folie! qu'il gèle à son gré ce vieux renard! et il n'est qu'un lapin tant que son armée n'est pas constituée! Il le sait... Je le sait...
            -Les Autrichiens sont les plus dangereux, mais ils doivent mettre pied au Piémont et en Bavière! -Les éclaireurs sont déjà là, et leurs espions travaillent, mais ils n'ont pas leurs cartes, ni le gros des troupes!
            -Paris brule t'il? non! - et Nelson peut rager tant qu'il lui plait, ce n'est pas lui qui posera son cul sur un cheval pour entrer dans la ville! - Moore! ce pleutre!, ne traversera pas la Manche! , et Wellesley n'aime que les bastions, les tranchées, les forts, le thé brulant et les lits chauds, loin de l'hiver d'où nous somment!
            -Hanovre messieurs!!
            -Nous déclarons la guerre à la Prusse!, nous ouvrons un passage à Bernadotte, je ne peut me passer de lui, et Clèves tient Hanovre en tenaille! Nous sortons du lit ce Blücher et marchons sur Berlin!
            -Mais nous somment en paix avec la Prusse!?
            dit Talleyrand
            -En paix?! rétorque Napoléon -Qu'est donc que la paix!? sinon la préparation à la guerre!? et bien préparons nous!....Hanovre messieurs! et puisque nous somment en paix! allons sans courir! Murat! Davout! partez dé maintenant pour Clèves, nous attaquerons la ville par le sud!
            Je part avec Brune par Hessel pour vous couvrir! rendez-vous à Hanovre!
            Maréchal Ney! vous restez à Strasbourg, je fait accélérer la fabrication d'armes et de canons dans cette ville! vous serez le mur de l'Est!...
            -Jomini!!... non rien! restez avec Ney!...


            Napoléon prend la route avec le maréchal Brune, direction Francfort ou il négociera un laisser-passer pour ses troupes. Tandis que Davout et Murat marchent sur Clèves..

            Murat, toujours fougueux, veut prendre d'assaut la ville sur un jour, mais Davout l'en dissuade, et préfère installer un siège. Ainsi la guerre déclarer à la Prusse, les armées alentours se focaliseront sur Davout, qui n'aura pas encore engagé le combat, et Murat peut alors fondre sur les formations éparses des Prussiens surpris par l'évènement.
            Sans attendre, les rixes se succèdent tour à tour, et tour à tour les petites formations tombent dans le piège et se prennent Murat par les flancs. Les oiseaux multicolores créent la débandade, les sabres des cavaliers sont comme des soleils brulant dans ce décors enneigé, que leurs chevaux, rapides et endurants, portent d'attaques en attaques, au rythmes soutenus des mises en formations rapides, ou excellent la cavalerie du grand aigle de la légion d'honneur.
            Davout décide au matin du deuxième jour d'entrer dans la ville, les soldats y sont trop peu nombreux pour lui résister, et la milice locale faillie vite à la garde.
            Avant midi la ville est Française, Metz envoi un ravitaillement en hommes malgré le peu de perte dans l'armée de Davout, et Murat... toujours fougueux... est déjà parti pour Hanovre avec ses troupes...
            Trop enclin à faire bien , il fait vite...et au détour d'une foret qui s'évanouie , le Prince Impérial tombe nez à nez sur Blücher et Clausewitz.
            L'armée Prussienne n'est pas à son plein, mais à sa tête les deux plus grands stratèges du pays...
            Blücher , le vieux lion, à déjà combattu Murat, et connais la valeur de ses chevaux, la hargne de ses hommes, la folie du Grand Duc, et mesure dé alors la position à tenir face à ces chevaucheurs flamboyants.
            Von Clausewitz tout aussi haineux des français que son acolyte, prend aujourd'hui le commandement de l'armée.
            Dans la plaine et la neige haute, les chevaux se fatigues, et les sabres volants de Murat se trouvent de suite face aux hussards noir et or de Mecklembourg de Von Clausewitz.
            Le choc est frontal, et bien que moins nombreux, les hussards , plus disciplinés, mettent en déroute les sabreurs de Murat, dont chaque escouade manque de cavaliers due aux combats sur Clèves.
            Les lignards des deux camps se trouvent vite face à face, le moral des troupes fera la différence à la longue, et ni Blücher ni Von Clausewitz ne lâchent un pousse de terrain, leurs présence dans la bataille interdira la fuite, et c'est finalement Murat qui ordonne au clairon de sonner la retraite.
            Par chance, la fatigue des Prussiens permettra aux troupes du Grand Aigle de se replier sur Clèves, et son chef prendra un savon bien mérité par Davout, un tant soi peu plus pragmatique, et qui avait l'ordre de faire avancer son armée en bonne forme jusqu'à la cohésion à Hanovre.

            De son coté, Napoléon suivi de près par le Maréchal Brune, ayant obtenu le laisser-passer à Cassel, se retrouve à la fois sur les troupes descendantes de Bernadotte, qui depuis la déclaration de guerre deux jours plus tôt se trouva fort mal en point au cœur de l'empire Prussien, et sur Von Clausewitz, non loin de l'endroit ou ce dernier livra bataille à Murat.
            Ne disposant que d'un corps de garde, une batterie d'artillerie, et une formation de chasseurs, Bernadotte, repéré par Von Clausewitz, se voit instantanément agressé par l'armée de Brandebourg. Le Maréchal Médiocre n'a d'autre choix que la fuite, qui bien heureusement sera couverte par l'arrivée escomptée de l'Empereur, encore une fois génialissime dans sa gestion du temps, et qui fort de son armée au grand complet, et de ses 24 canons, décimera les troupes du meilleurs stratège de Prusse, et renverra Blücher à ses bouillottes berlinoises...

            -Content de vous voir Jean-Baptiste! dit Napoléon à Bernadotte, feignant de comprendre la fuite de ce dernier.-Vous avez eu vent de mes intentions par mon messager!? fort bien, nous somment dans les temps et à l'endroit choisi! j'ai une mission pour vous...Une mission hier dangereuse, mais au combien confortable aujourd'hui!! s'esclaffant de la berlue qu'il lui tend.
            -Une mission prestigieuse, dont je sais déjà que vous en avez l'expérience....Prendre et tenir...Prendre avec nous, et tenir pour la France! - Un endroit stratégique d'une grande importance, une mission digne de votre rang! la plaque tournante de notre matériel et de nos armées!...Hanovre!!!
            Riant aux éclats de cette bouffonnerie, laissant Bernadotte hagard, Napoléon fait commander son cuisinier pour lui préparer un de ses plats préférés, des pommes de terre frittes et une oignonade...

            La guerre contre la Prusse à commencée. Blücher sera trés tôt sur pied et sa colère n'est pas prête de s'apaiser envers les Français et son petit Empereur.
            Hanovre sera la place forte ou Bernadotte , bien vite rentré du froid hivernal et toujours stupéfié du tour que Napoléon lui a joué.
            Murat et Davout, à peine réconciliés, seront le front d'armée face à Berlin.
            Napoléon et Brune retournent à Strasbourg, le chef de la grande armée à feint de se désinterresser de Koutousof devant ses généraux, et va preparer une contre offensive immédiate sur l'armée Russe, et dans le même temps bloquer l'avancée bien trop dangereuse des Autrichiens en Bavière...

            -La vrai sagesse des nations est l'expérience! dira Napoléon à Brune, le soir du repas.
            -Nous avons été sage, en faisant la paix aux Prussiens! - Nous avons été sage en leur déclarant la guerre! Sage de ne pas attendre, qu'il nous la prépare!....

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            • #7
              Un vrai roman photo superbe

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