Toggle navigation
Youtube
VOD
Twitch.tv
Connexion
Connexion
Identifiant
Mot de passe
Se souvenir de moi
Connexion
Connexion
Vous possédez déjà un compte sur notre communauté ? Identifiez-vous !
Inscription
Rejoignez notre communauté en vous inscrivant dès maintenant !
Oubli de votre mot de passe ou de votre identifiant ??
Pas d’inquiétude, ça arrive à n'importe qui !
Contactez-nous
Envoyer un email à l'administrateur du site
Inscription
S'identifier ou s'inscrire
Connexion en cours...
Se souvenir de moi
Connexion
Oubli de votre mot de passe ou de votre identifiant ?
ou
s'inscrire
S' identifier avec
Articles
Forums
Forum
Total War
Total War : MEDIEVAL
Medieval II : Total War
X
Réduire
Messages
Dernière activité
Recherche
Page
sur
1
Filtre
Heure
Tout
Aujourd'hui
La semaine dernière
Le mois dernier
Afficher
Tout
Discussions uniquement
Photos uniquement
Vidéos uniquement
Liens uniquement
Sondages uniquement
Events only
Filtré par:
Tout nettoyer
nouveaux messages
Précédent
template
Suivante
Ullric
Militaire intermittent
Share
Tweet
#1
Guide des factions: Le Saint Empire Romain Germanique
29-08-2010, 17h35
Saint Empire Romain Germanique
Prologue:
Le nom
de "Saint Empire Romain" est aujourd'hui sans doute peu approprié pour désigner la plus grande alliance de royaumes et de fiefs d'Europe. C'est en effet l'Empire Byzantin qui perpétue l'héritage des anciens Romains, et peu sont assez crédules pour croire que le Kaiser est un serviteur fidèle de l'Église Catholique romaines.
Début du jeu:
Le Saint Empire Romain Germanique (SERG) ou "Das Römisches Heiliges Reich" en allemand n’est pas un nom qui reflète la réalité : cette faction n'est pas « sainte », n'est pas « romaine » et n'est certainement pas un « empire ». C'était plutôt une collection de fiefs et de petits royaumes vaguement regroupée sous l’autorité d’un empereur élu. Malgré ce manque d'unité, le SERG a été l'une des grandes puissances de l'époque médiévale.
Le Saint Empire Romain commence au centre de l’Europe et est donc entouré de danger : les Français sont une menace à l’Ouest, les Danois au Nord, Milan et Venise au sud et enfin, les rebelles et les Polonais à l'Est. Prendre Prague (Rebelle) peut être une bonne initiative stratégique pour renforcer votre position.
Le Saint Empire Romain Germanique commence avec 6 régions :
Innsbruck
Staufen
Frankfort
Nuremberg
Vienne
Bologne
Spoiler:
Objecti
f de campagne:
Campagne longue: tenir 45 régions dont Rome
Campagne courte: tenir 20 régions et éliminer le Danemark et Milan
Stratégie
Avec le SERG, il est essentiel de prendre certaines villes pour freiner les ardeurs de ses voisins. Il faut tout d’abord attaquer rapidement Florence pour limiter la croissance de Milan. Attaquer Hambourg est aussi une bonne idée car le château bloquera efficacement les Danois. Après ses deux villes essentielles, avancez vers Prague, Metz, Berne, Magdeburg, Stettin, voire Dijon et Zagreb (si elles sont encore des villes rebelles). Ainsi vous avez limité l’expansion de Milan, de la Pologne, de Venise et de la France. A se stade de la campagne, il est intéressant de prendre le Danemark puisque l’armée danoise sera occupée à prendre la ville de Stockholm. Mais laissez tranquille les Pays-Bas, pour le moment, attendez d’avoir une armée plus puissante.
Spoiler:
Pour la suite, vous pouvez agir comme bon vous semble mais je peux néanmoins conseiller cette approche aux néophytes :
Spoiler:
Maintenant que vous vous êtes créé un puissant ancrage en Europe, vous pouvez faire la guerre aux autres factions.
Tout d'abord, vous devez écraser Anvers et Bruges, (vous avez maintenant la possibilité de créer une grande armée). Vous devriez aussi essayer d'acheter Caen à l'anglais, (suffit de leur verser un tribut de 3000 pendant 7 tours). Je sais que cela semble beaucoup mais vous ne tomberez pas en faillite. A ce moment de la campagne, le Pape a appelé sans doute à une croisade vers Jérusalem. Ne vous attaquez à la ville que si elle n’a pas encore été prise par l'Égypte. Dans tout les cas, vous êtes libre de vous développer vers Acre, Damas, Alep et Antioche (évitez de vous fâcher avec l'Égypte !). En Europe, le moment est venu de détruire Milan : 16000 florins si vous pillez Gênes et Milan. Ensuite, attaquez Paris (encore 8000 florins) et isoler Reims. Maintenant, vous devriez (si vous avez Caen) conquérir Angers, Rennes, Bordeaux. Ensuite prenez Reims tranquillement. Maintenant, vous avez probablement été excommunié, pas pour longtemps car le pape va bientôt mourir et c’est en effet le bon moment pour attaquer Rome (puisque vous avez été excommunié). Exterminez la population de la ville car elle se rebelle facilement. Déplacez vous ensuite rapidement vers le sud de la France, la Sicile et l’Afrique du Nord. Votre empire est plus grand que Charlemagne : essayer de gagner la confiance du pape en mettant fin à vos guerres contre les chrétiens et en vous concentrant sur les Maures et les rebelles.
Fin de campagne:
Pour la guerre contre les Maures, assurez vous d’avoir 5-10 prêtres pour convertir la population (en plus, ils vont monter en piété et devenir des cardinaux). Commencer par l’Afrique du Nord pour ensuite prendre la péninsule en tenaille. Ensuite, vous pouvez souffler pour reconstruire et peut-être avoir un pape allemand sur le trône. Arrive alors la menace Mongols... Fortifiez vos États Croisés et préparez une guerre meurtrière. Faîtes des alliances, si vous pouvez, avec la Pologne, la Hongrie, l'Égypte, et les Byzantins ou les Turcs. Maintenant, avec l’Ibérie dans votre contrôle, attaqué Arguin et Tombouctou. Puis détruisez complètement Venise. Si vous voulez, vous pouvez attaquer la Grande-Bretagne. Normalement, à ce stade, vous devriez avoir remporté la campagne.
Militaire:
Sur le plan militaire, une spécialisation des châteaux ne serait pas mauvaise étant donné le nombre d'unités du SERG dans chaque domaine.
Vous avez une armée relativement équilibrée, il faut donc vous développer dans tous les domaines. Essayez surtout de développer rapidement vos troupes de combat en terrain difficile, elles vous serons utiles en début de campagne avec les alpes et le nombre de forêts. Essayez aussi d'avoir rapidement une guilde des chevaliers teutoniques, ils sont très utiles.
En début de partie, une armée composée de chevaliers, de vougiers et d'archers est bien. Essayez d'
oublier
rapidement les sergents lourds, ils ont un très mauvais rapport qualité/prix. En fin de partie, la plupart des unités les plus tardives peuvent être utilisées.
Résumé:
Point fort:
Commence avec de grosses armées permanentes et garnisons dans les grandes villes. Des unités efficaces sur terrains difficiles (zweihanders). Un ancrage bien établi en Italie avec un accès facile au Pape pour le soutenir ou le détruire. Accès aux chevaliers teutoniques par la construction de leur guilde.
Points faibles:
Entouré de toutes parts par des ennemis potentiels : guerres multiples possibles.
Bonne technologie dans la période tardive, mais qui reste plus faible que celle de ses rivaux : Milan et la France. Généralement sans provinces littorals : moins de revenus de commerce jusqu'à ce que vous sécurisiez les villes côtières. Le Danemark et la Pologne deviennent habituellement très puissant.
Conclusion:
Le SERG devra batailler pour rester uni. Le grand nombre d'ennemis augmente le risque d’être frapper lorsque vous vous y attendez le moins. C’est par contre la possibilité d’avoir rapidement l’empire le plus vaste et d'absorber donc les petits empires rapidement.
Le Pape peut être un allié puissant mais aussi votre pire ennemi : risque d’appel à la croisade contre votre faction. L'Empereur doit être prudent dans la façon dont il traite sa Sainteté. N’essayer surtout pas de mener votre expansion de tous les côtés, cela vous nuirait plus qu’autre chose. Le Saint Empire Romain Germanique a un certain avantage cependant, il ne devrait pas avoir besoin de s'inquiéter des factions musulmanes.
Spoiler:
Histoire:
Le Saint Empire Romain Germanique est l'héritier directe de l'Empire de Charlemagne. Avec la nouvelle dynastie des Ottoniens, il connaît un renouveau à la fin du Xème siècle. Otton Ier installe sa famille sur le trône de Germanie et de Lombardie, et reprend la tradition du couronnement par le Pape après l’élection par les princes allemands. Mais se seront son fils Otton II et son petit fils Otton III qui travailleront à faire reconnaitre ce trône comme celui de "l'Empereur des Romains".
Le SERG vers l'an 1000
Une nouvelle étape fut franchie au cours du XIe siècle. Henri III, élu par les princes en 1039, prit, le premier, le titre de « Roi des Romains » : l'Empire recouvrait désormais trois royaumes, la Germanie, l'Italie (Lombardie) et la Bourgogne depuis 1032. La puissance qu’à alors Henri III lui permet, en 1046, de déposer les 3 papes qui se disputent le siège de Saint Pierre et d’en nommer un qui soit allemand (Clément II). Ce dernier va alors le couronner Empereur. L'Empereur, roi allemand, est le chef du monde chrétien.
Mais le pouvoir acquis par le souverain germanique ne convient pas à la papauté réformatrice, qui bientôt réagit vigoureusement avec Grégoire VII. Ce pontife rejeta toute idée de contrôle de l'Empire sur le Sacerdoce, c'est-à-dire de l'Empereur sur le Pape. Dans les vingt-sept décisions Dictatus du Pape, il impose à tous rois, évêques ou abbés élu d’informer de son élection de pontife romain, et de solliciter son consentement. C’est le début de la querelle des investitures (1075). L’Empereur fait alors proclamer à l'assemblée de Worms, la déposition du Pape (janvier 1076) ; celui-ci répliqua en excommuniant le souverain. Face à l'hostilité des princes allemands, l’Empereur dut solliciter son pardon (février 1077).
Le souverain suivant Henri IV est lui aussi excommunié en 1080 et fut contraint de faire élire un antipape, Clément III, qui le couronna Empereur (1084). En effet, si l'Empereur perd sont contrôle sur l’Eglise, il risque de se retrouver considérablement affaibli. L'enjeu du conflit dépassait la simple polémique sur les investitures, comme en France et en Angleterre; il s'agissait d'une lutte du Sacerdoce contre l'Empire, le vainqueur étant assuré d'avoir autorité sur le monde chrétien. Henri IV échoua, son fils Henri V ne réussit pas mieux. En 1122, le concordat de Worms reconnut la prééminence de l'autorité ecclésiastique sur celle des laïcs.
Stratégie, bataille conte l'IA/multi
Panorama des unités:
I
nf
anterie légèr
e :
Pays
ans
Sergents vougiers
Sergents lourds
Milice civile
Infante
rie lourde :
Zweihanders
Kriegsfutters
Milice hallebardier
s
Chevaliers féodaux à pied
Chevaliers impériaux à pied
Chevaliers gothiques à pied
Infanterie de
vougiers et de piquers :
Milice de vougier
s
Milice de piquiers
Piquiers Landsknecht
Le SERG commence avec une infanterie relativement classique, avec des unités communes aux autres factions. Mais des unités comme les sergents lourds permettent d'avoir un infanterie correcte en période précoce et jusqu'à la moitié de campagne. De plus, vous pourrez créer des milices hallebardiers très utiles pour défendre des villes en période précoce, en formant un "mur de vouge".
C'est avec l'arrivée des redoutables chevaliers impériaux que votre infanterie deviendra redoutable mais leur coût se justifie t-il ?
Le SERG possèdent aussi des unités très utile pour combattre en terrain difficile comme les Zweihanders ou les Kriegsfutters. Leur capacité à combattre dans la forêt et le froid sera très utile pour tous combats se déroulant dans le nord de l'Europe. En période tardive, vous pourrez utiliser les chevaliers gothiques à la défense plus élevée. ils vous permettront de créer une ligne de défense digne de son nom en plein terrain difficile.
Vous pourrez aussi compter sur les piquiers Landsknecht, capables de tenir position contre un grand nombre d'unités du jeu. Comme tous les piquiers, ils n'ont pas d'armure, ce qui les rendent vulnérables aux tirs. Mais utiliser avec d'autres types d'infanterie, ils peuvent être monstrueux pour former l'enclume d'un attaque. Enfin, leur utilité est loin d'être négligeable en défense de villes surtout quand les mongoles attaquent.
Spoiler:
Spoiler:
Spoiler:
Spoiler:
Infanterie à distance :
Archers paysans
Arbalétriers paysans
Milice d’arbalétrier
Arbalétriers avec pavois
Arquebusiers
Handgunners
Rien d'exceptionnel dans l'infanterie à distance du SERG. Privilégiez les arbalétriers, le bonus de perçage d'armure font que l’arbalète surpasse l’arc. Dans les villes, vous pouvez former des milices d’arbalétriers à entretien gratuit et à efficacité décente. Dans les châteaux, vous pourrez développer des arbalétriers avec pavois plus résistant.
Cavalerie lourde :
Chevaliers en cotte de maille
Chevaliers féodaux
Chevaliers impériaux
Chevaliers gothiques
Milice marchande montée
Chevaliers teutoniques
Sergents montés
Cavalerie à distance :
Arbalétriers montés
Reiters
La cavalerie du SERG est redoutable en période tardive et correcte en période précoce (unité européenne classique). Même si ils n'atteignent pas le niveau de la cavalerie française, les chevaliers gothiques vous seront trè
s utiles sur le champ de bataille. Leur bonus de charge n'est pas à négliger. Votre meilleure option est probablement celle se présentant sous la forme des Chevaliers Teutoniques, recrutables après la construction de leur guilde au sein de vos terres. Cette guilde semble être assez difficiles à obtenir, mais elle en vaut la peine. Statistiquement, ils jouent à jeu égal avec les chevaliers croisés. Enfin, avec l'arrivée de la poudre, vous aurez accès aux Reiters, cavaliers équipés de pistolet, qui, comme toutes les unités à poudre, font très mal aux morales des ennemis, avec la vitesse en plus.
Spoiler:
Spoiler:
Spoiler:
Spoiler:
Artillerie :
Baliste
s
Catapulte
s
Trébuchets
Bombarde
s
Grande Bombarde
s
Canon
s
Serpentines
Basilic
s
L'artillerie de pré-poudre du SERG est bien sûr la même que les autres factions, mais c’est après la découverte de la poudre à canon qu’elle devient redoutable. Après la bombarde, la grand bombarde et le ribaudequin, vous
obtenez la couleuvrine, plus efficace contre les murs. La cerise sur le gâteau reste le basilic, probablement le meilleur canon du jeu.
Stratégie contre l'IA:
Si vous êtes en campagne, il y a des grandes chances que le problème d’argent ne se pose pas. Dans ce cas usez et abusez d'archers, de cavalerie et de piquiers. Ce sera le triangle gagnant dans les combats. Canardez l'ennemi de flèches, attendez le au contact, avancez vos piquiers avec de l'infanterie lourde en soutien. Usez de vos vougiers pour protéger les flancs ou encore en soutien dans la cavalerie. Le but de celle-ci sera d’arrêter la cavalerie ou de charger dans les flancs, au dos, et chasser les tireurs, etc. Rappelez-vous que votre armée est équilibrée, cela doit se voir dans votre composition. Prenez des arbalétriers montés pour vous occupez de la cavalerie montée adverse.
Astuce:
Supers Reiters:
C'est l'une des seules cavaleries montées utilisant la poudre à canon alors profitez en. Ne les utilisez pas pour vous occuper de la cavalerie montée ennemie, ils sont beaucoup plus efficaces contre les blocs d'infanterie. Grâce à leur arme à poudre, ils peuvent casser le morale ennemie tout en restant hors d'atteinte d'une charge. Néanmoins, faîtes attention à la cavalerie montée ennemie, vos reiters sont peu protégés.
Soutien des piquiers:
Astuce classique mais de bon sens, certaines unités peuvent enfoncer les murs de vouges. Il est donc essentiel de garder de l'infanterie derrière vos piquiers pour parer à cette éventualité.
Soutien des piquiers :
"Paysans"; et comment les utiliser à Bon escient.
A voir
ici
dans le guide sur la France
Dernière modification par
Ullric
,
29-08-2010, 17h42
.
FriedrichvonHohenstaufen
Tacticien incompris
Share
Tweet
#2
28-12-2013, 13h51
Désolé de remonter un topic si vieux mais en lisant les différentes stratégie préconisées contre l'ia, je remarque qu'en fait, il n'y en a qu'une: faire le marteau et l'enclume et avec n'importe quelle faction. Maintenant je comprends pourquoi certains se plaignent qu'ils trouvent le jeu trop répétitif, surtout avec une tactique peu adaptée au Moyen-âge. Quand je vois les unités du SERG, je préconise largement les charges de cavalerie. Rien qu'au départ avec les chevaliers teutoniques, on bat facilement les milices de vougiers ennemies. Quand on arrive au niveau forteresse, toutes les armées occidentales se ressemblent avec les chevaliers féodaux/arbalétriers donc là, il faut se la jouer subtil. Mais à nouveau quand on développe une citadelle, recrutez des chevaliers impériaux, des chevaliers gothiques et chargez ! Avec des chevaliers impériaux à pied ou des zweihänder en soutien pour rajouter une couche, pourquoi essayer de faire faire de grands mouvements tournants à des unités si lourdes ? En plus, un des buts de la tactique est de renouveler ses schémas pour éviter la routine et s'améliorer.
Commentaire
Envoyer
Annuler
Précédent
template
Suivante
Chargement...
Oui
Non
OK
OK
Annuler
X