Pour ceux qui auraient loupé le message précédent/son édition ; je rappelle que j'ai rajouté deux graphiques aux stats d'économie, sur le cumul des dépenses. Ca permet de bien mieux voir les parts occupés par chaque poste à moyen/long terme. J'ai aussi un peu amélioré la présentation.
Ceci étant dit, nous voici repartis pour le récit !
Dix-neuvième partie - Printemps 2993 T.A. et Été 2993 T.A. (Tours 53 et 54)
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Printemps 2993 T.A.
Au début du printemps eut lieu une confrontation navale au Sud de la péninsule du Belfalas, entre la flotte du Rhûn et plusieurs bâtiments gondoriens.
La victoire revint assez nettement aux dúnedains qui obligèrent la flotte ennemie à fuir sans toutefois parvenir à capturer ou couler les navires adverses.
A Minas Ithil, les renforts de Curuion arrivèrent, et une nouvelle sortie fut lancée par Dénethor ; contre l'armée orque qui assiégeait encore la forteresse.
Curuion avait avec lui une compagnie d'archers, un groupe de miliciens épéistes, et un de miliciens montés en plus de sa garde de cavaliers. Rapidement il attaqua les troupes ennemis avec sa cavalerie, les prenant à revers, puis de face.
La cavalerie sortie de la ville se joignit à ces offensives de l'autre côté, éliminant un groupe d'archers orques fort agaçant.
Pendant ce temps, Faramir et ses archers avaient entrepris le tir de flèches sur les troupes orques les plus proches du chemin d'accès vers la forteresse.
Du côté des renforts de Curuion, la milice d'archers s'était approchée du combat dans le même but... Avant d'être chargée par les terribles Olog Haï adverses. Dès le contact ceux-ci infligèrent de lourdes pertes aux archers qui battaient en retraite dans l'affolement. La cavalerie vint rapidement pour essayer de combattre les monstrueux trolls.
Son principal mérite fut cependant surtout d'encaisser les coups à la place des archers, ne pouvant que difficilement faire des dégâts à ces monstres recouverts d'armures comme si leur épaisse peau naturelle n'était pas déjà assez embêtante.
Les archers de Faramir furent engagés au corps à corps par des orques - que les cavaliers de Dénethor vinrent attaquer -, et une vingtaine de rôdeurs périt avant que la compagnie ne batte correctement en retraite.note 1
Les cavaliers de Curuion reculèrent du combat contre les trolls, puis tentèrent de les attaquer de dos quand ceux-ci voulurent se diriger vers leurs lignes, mais sans grand succès.
La bataille se poursuivait sporadiquement des deux côtés. La milice montée venue aux côtés de Curuion finit par entrer en déroute, épuisée, sans grand espoir au vu du nombre des adversaires, et terrifiée par les trolls non loin. Cela ne lui porta guère chance cependant, puisque la fuite éperdue au milieu des rangs orques les vit presque tous mourir.
Voyant que les orques ne voulaient définitivement pas engager de mouvement vers la forteresse malgré les provocations des archers de Faramir, Dénethor envoya donner l'ordre de faire sortir la garnison dúnedaine de Minas Ithil et de marcher au combat.
Peu après sortaient les groupes de combattants les uns après les autres, les puissants gardes de la fontaine en tête.
Les archers de Curuion furent encore engagés par les trolls, subissant de lourdes pertes jusqu'à ce que les miliciens épéistes arrivent à la rescousse. note 2Certains trolls se replièrent alors en marchant, alors que d'autres engagèrent le combat. Les cavaliers de Curuion revinrent aussi au combat.
Plusieurs Olog Haï finirent par tomber sous ces assauts répétés. Le gros de l'armée orque restait intact. Après un assez long moment, l'armée des hommes put se mettre en formation face à ses adversaires. Les hommes étaient plus nombreux et mieux équipés, l'issue ne faisait donc guère de doute.
Les archers tirèrent quelques salves, et l'infanterie mena une charge massive. Les centaines d'hommes en armure lourde firent un vacarme terrible, auquel s'ajoutaient les cris de guerre qu'ils poussaient. Le choc fut brutal, et les orques perdirent rapidement du terrain.
Les groupes orques furent écrasés les uns après les autres, et bientôt ne restaient plus quelques uns isolés à lutter encore, quelques autres à fuir, et les terribles Olog Haï. Les marins de Pelargir s'avancèrent vers eux, et projetèrent puissamment leurs javelots sur ces engeances du Mal.
Deux trolls furent abattus sur le coup, déjà affaiblis par leurs précédents combats. L'efficacité n'était pas miraculeuse, mais comparée à celle des flèches elle ne faisait guère de doutes.
Quelques secondes plus tard, les Olog Haï engagèrent les gardes de la fontaine, leurs longues et solides lances, et leur courage inébranlable.
La cavalerie poursuivit autant d'orques qu'elle le put. Lorsque le trouble de la bataille se dissipa, il n'y avait plus d'orques. On constatat aussi que les miliciens épéistes des renforts étaient pour la plupart morts au combat contre les Olog Haï, les survivants ayant fui. Curuion était lui aussi mort, d'un coup de masse à pointe de l'un des trolls. La victoire avait exigé un lourd tribut des hommes, mais Minas Ithil avait repoussé ses assiégeants.
Une fois le siège levé, put enfin parvenir une nouvelle diplomatique importante : les elfes sylvains venaient de faire la paix avec le Mordor...
Dénethor fut furieux lorsqu'on le lui apprit. C'étaient là bien les elfes... Le Gondor avait certes, deux ans plus tôt, temporairement cessé les hostilités avec le Mordor, mais après l'avoir largement affaibli, et sans permettre aux troupes du Mordor proprement dit d'aller porter soutien aux orques de Dol Guldur qui attaquaient la Lórien ou bien les elfes de la Forêt Noire.
Cette paix au moment précis où le Gondor subissait l'assaut des forces conjugués des hommes corrompus du Sud et de l'Est, comme du Mordor, était la preuve que la défiance des elfes envers le royaume des dúnedains dépassait les simples sentiments.
L'intendant décida de ne pas rester inactif, et de diriger les troupes qui étaient en état de combattre sur Cirith Ungol, prochaine forteresse de Sauron à encore verrouiller l'accès aux maléfiques plaines de Gorgoroth.
Plus au Nord, Golasgil et Mistnir lancèrent avec des troupes réduites un siège sur la forteresse de Durthang. Elle fut autrefois bâtie par les dúnedains pour surveiller le Mordor, mais depuis longtemps elle était devenue un bastion orque.
Enfin assez loin de là, Durven avait quitté Gobel Ancalimon avec quelques troupes rassemblées, et avait reçu des renforts d'Has Hayb, pour aller mettre le siège sur Kas Shafra : les orientaux regretteraient de s'être attaqué au Gondor.
Été 2993 T.A.
Après Curuion l'année passée, ce fut un nouveau général à la loyauté douteuse qui se vit promu pour être envoyé combattre au Mordor. Il s’appelait Morfinnion.
Le printemps ne s'était tout de même pas résumé au combat de Minas Ithil pour le Gondor : les récoltes généreuses assuraient une véritable sécurité contre le risque de famine, et plusieurs projets d'élevages arrivèrent à terme au début de l'été.
La situation intérieure restait très calme dans le Sud, tout comme la situation militaire où nulle attaque du Harad n'était enregistrée. La culture des villes évoluait à un rythme très satisfaisant vers celle des conquérants, même si les campagnes environnantes ne connaissait presque aucun changement de ce point de vue.
En Mordor, Golasgil et Mistnir lancèrent l'assaut contre Durthang. Ils l'emportèrent aisément, et massacrèrent tout les orques du lieu.
La même chose, peu ou prou, se produisit à Cirith Ungol avec simplement davantage de belligérants.note 3
Le conseil des nobles fut fort satisfait, et à sa charge recruta et équipa trois groupes de miliciens montés, avec des chevaux venus du Rohan. Les unités se mirent immédiatement en route vers Cirith Ungol depuis Minas Anor, pour aller renforcer les troupes décimées de l'intendant.
Au milieu de l'été, au sud de la baie qui prolongeait l'estuaire du fleuve Harnen, Durven lança l'assaut sur Kas Shafra.
La porte de la ville fut enfoncée sans résistance à l'aide du bélier, et les dúnedains purent se réorganiser après avoir franchi la palissade. Il fut particulièrement surprenant de faire face à des adversaires qu'ils ne connaissaient pas du tout : c'étaient des hommes du Harad équipés à la mode orientale, de manière similaire aux javeliniers des tribus Balchoth.
Heureusement, ils avaient un certain avantage par rapport à de tels adversaires. Les miliciens épéistes engagèrent le combat d'un côté, alors que la cavalerie allait et venait par une rue latérale. Les archers restaient en arrière, tirant quelques flèches sans grand effet.
Alors que le combat se poursuivait sans grande surprise, le commandant des troupes ennemies, apparemment fort imprudent, fut tué. Le combat fut ensuite rapidement conclu.
La ville fut pillée, comme elle l'avait été six ans plus tôt, tuant un millier d'habitants. A nouveau, certains bâtiments qui avaient été reconstruits par le Rhûn furent détruits.
Près de Barad Harn, les restes de la flotte du Rhûn furent à nouveau défaits.
D'autres combats eurent encore lieu : les troupes du capitaine Cuion engagèrent de légères forces orques qui patrouillaient en Mordor. Les archers firent l'essentiel des pertes infligées aux ennemis.
Le capitaine Cuion fut promu à la suite de cette bataille. Il était de la trempe de ces soldats rudes auxquels on ne ferait pas trop confiance, mais dont on ne doutait pas de la férocité face à l'ennemi.
Il mena ensuite ses hommes dans la vallée d'Udûn, où une armée d'un millier et demi d'orques menaçait d'aller reprendre la Porte Noire, qui était très mal défendue. Les deux armées se firent face. Il y avait deux orques pour un homme.
Le peu de cavalerie formé et envoyé à la hâte s'occupa de harceler l'ennemi et parvint à tuer le capitaine ennemi, tandis qu'en confiance les orques marchaient sur les gondoriens.
Les orques parvinrent à mettre en sous-nombre les trois cents miliciens épéistes qui subissaient de lourdes pertes. Les divers groupes d'archers s'étaient eux reculés pour rester à l'abri du corps à corps.
Une partie des forces de Sauron se détourna vers eux mais fut vite massacrée par les flèches. Quelques minutes plus tard, les divers groupes orques étaient en déroute, et presque la moitié des miliciens épéistes étaient encore en vie, bien que blessés pour un bon nombre. Les fuyards furent poursuivis dans la mesure du possible par la cavalerie, alors que l'archerie régla le sort d'un groupe qui eut la mauvaise idée de passer près d'elle. La menace posée par l'ost ennemi était éradiquée. Tout les prisonniers furent exécutés comme c'était la norme face aux orques.
Une ultime bataille eut lieu cet été : Golasgil et Mistnir avaient fait mouvement vers un cantonnement orque en laissant à Durthang une garnison minimale. Les orques menèrent alors une sortie, ne semblant pas bien comprendre le concept de cavalerie d'élite : celle-ci ne les menaçait pas derrière leurs palissades, mais sur terrain nu... Ce fut une boucherie.
L'été avait vu plusieurs événements significatifs pour le royaume en dehors de la guerre. La guerre était d'une certaine manière ce qui était le plus visible, avec la guerre et encore la guerre ; mais dans la discrétion se jouait aussi la grandeur du royaume.
Arathorn, après avoir suivi un moment la côte, était parti vers le Sud-Est et était arrivé dans une ville du Rohan, où il put entamer des négociations avec les alliés du Gondor. Il souhaitait réaliser un échange de carte, tout en voyant les informations précises de son royaume valorisées. Cependant, même après qu'il eut bien amélioré son offre, le Rohan se refusa à céder ses informations et ce ne fut là qu'un moyen d'arrondir le budget du Gondor.
Un autre échange similaire eut lieu avec les orques des Monts Brumeux, dont Arveleg rencontra le grand chef ; nommé Uglag.
Enfin l'été fut l'occasion pour d'autres familles de s'installer dans les régions qui en avaient besoin sous l'incitation du royaume. L'automne précédent, un nombre assez important avait été encouragés, dont une partie à destination de l'île de Tolfalas depuis Pelargir.note 4
Le coût financier étant cependant tout à fait notable, seules les régions de Drúedan et d'Erech virent cet apport, depuis Minas Anor et Dol Amroth.
Note 1 : Les joies des grosses batailles où il faut gérer ce qui se passe à plusieurs endroits.
Note 2 : Ils ne pouvaient pas entrer sur le champ de bataille avant la déroute des cavaliers.
Note 3 : Eh oui deux résolutions automatiques, faire les combats soi-même, et plus encore en faire le récit, est très lourd. Sans être très intéressant à lire, je crois. Alors quand ça n'économise guère les hommes que de diriger le déroulement de la bataille en personne...
Note 4 : J'avais un peu oublié d'en parler
Ceci étant dit, nous voici repartis pour le récit !
Dix-neuvième partie - Printemps 2993 T.A. et Été 2993 T.A. (Tours 53 et 54)
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Printemps 2993 T.A.
Au début du printemps eut lieu une confrontation navale au Sud de la péninsule du Belfalas, entre la flotte du Rhûn et plusieurs bâtiments gondoriens.
Spoiler:
A Minas Ithil, les renforts de Curuion arrivèrent, et une nouvelle sortie fut lancée par Dénethor ; contre l'armée orque qui assiégeait encore la forteresse.
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Du côté des renforts de Curuion, la milice d'archers s'était approchée du combat dans le même but... Avant d'être chargée par les terribles Olog Haï adverses. Dès le contact ceux-ci infligèrent de lourdes pertes aux archers qui battaient en retraite dans l'affolement. La cavalerie vint rapidement pour essayer de combattre les monstrueux trolls.
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Les archers de Faramir furent engagés au corps à corps par des orques - que les cavaliers de Dénethor vinrent attaquer -, et une vingtaine de rôdeurs périt avant que la compagnie ne batte correctement en retraite.note 1
Les cavaliers de Curuion reculèrent du combat contre les trolls, puis tentèrent de les attaquer de dos quand ceux-ci voulurent se diriger vers leurs lignes, mais sans grand succès.
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Voyant que les orques ne voulaient définitivement pas engager de mouvement vers la forteresse malgré les provocations des archers de Faramir, Dénethor envoya donner l'ordre de faire sortir la garnison dúnedaine de Minas Ithil et de marcher au combat.
Peu après sortaient les groupes de combattants les uns après les autres, les puissants gardes de la fontaine en tête.
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Quelques secondes plus tard, les Olog Haï engagèrent les gardes de la fontaine, leurs longues et solides lances, et leur courage inébranlable.
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Une fois le siège levé, put enfin parvenir une nouvelle diplomatique importante : les elfes sylvains venaient de faire la paix avec le Mordor...
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Cette paix au moment précis où le Gondor subissait l'assaut des forces conjugués des hommes corrompus du Sud et de l'Est, comme du Mordor, était la preuve que la défiance des elfes envers le royaume des dúnedains dépassait les simples sentiments.
L'intendant décida de ne pas rester inactif, et de diriger les troupes qui étaient en état de combattre sur Cirith Ungol, prochaine forteresse de Sauron à encore verrouiller l'accès aux maléfiques plaines de Gorgoroth.
Plus au Nord, Golasgil et Mistnir lancèrent avec des troupes réduites un siège sur la forteresse de Durthang. Elle fut autrefois bâtie par les dúnedains pour surveiller le Mordor, mais depuis longtemps elle était devenue un bastion orque.
Enfin assez loin de là, Durven avait quitté Gobel Ancalimon avec quelques troupes rassemblées, et avait reçu des renforts d'Has Hayb, pour aller mettre le siège sur Kas Shafra : les orientaux regretteraient de s'être attaqué au Gondor.
Été 2993 T.A.
Après Curuion l'année passée, ce fut un nouveau général à la loyauté douteuse qui se vit promu pour être envoyé combattre au Mordor. Il s’appelait Morfinnion.
Le printemps ne s'était tout de même pas résumé au combat de Minas Ithil pour le Gondor : les récoltes généreuses assuraient une véritable sécurité contre le risque de famine, et plusieurs projets d'élevages arrivèrent à terme au début de l'été.
La situation intérieure restait très calme dans le Sud, tout comme la situation militaire où nulle attaque du Harad n'était enregistrée. La culture des villes évoluait à un rythme très satisfaisant vers celle des conquérants, même si les campagnes environnantes ne connaissait presque aucun changement de ce point de vue.
En Mordor, Golasgil et Mistnir lancèrent l'assaut contre Durthang. Ils l'emportèrent aisément, et massacrèrent tout les orques du lieu.
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Au milieu de l'été, au sud de la baie qui prolongeait l'estuaire du fleuve Harnen, Durven lança l'assaut sur Kas Shafra.
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Heureusement, ils avaient un certain avantage par rapport à de tels adversaires. Les miliciens épéistes engagèrent le combat d'un côté, alors que la cavalerie allait et venait par une rue latérale. Les archers restaient en arrière, tirant quelques flèches sans grand effet.
Alors que le combat se poursuivait sans grande surprise, le commandant des troupes ennemies, apparemment fort imprudent, fut tué. Le combat fut ensuite rapidement conclu.
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Près de Barad Harn, les restes de la flotte du Rhûn furent à nouveau défaits.
D'autres combats eurent encore lieu : les troupes du capitaine Cuion engagèrent de légères forces orques qui patrouillaient en Mordor. Les archers firent l'essentiel des pertes infligées aux ennemis.
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Il mena ensuite ses hommes dans la vallée d'Udûn, où une armée d'un millier et demi d'orques menaçait d'aller reprendre la Porte Noire, qui était très mal défendue. Les deux armées se firent face. Il y avait deux orques pour un homme.
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Une ultime bataille eut lieu cet été : Golasgil et Mistnir avaient fait mouvement vers un cantonnement orque en laissant à Durthang une garnison minimale. Les orques menèrent alors une sortie, ne semblant pas bien comprendre le concept de cavalerie d'élite : celle-ci ne les menaçait pas derrière leurs palissades, mais sur terrain nu... Ce fut une boucherie.
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L'été avait vu plusieurs événements significatifs pour le royaume en dehors de la guerre. La guerre était d'une certaine manière ce qui était le plus visible, avec la guerre et encore la guerre ; mais dans la discrétion se jouait aussi la grandeur du royaume.
Arathorn, après avoir suivi un moment la côte, était parti vers le Sud-Est et était arrivé dans une ville du Rohan, où il put entamer des négociations avec les alliés du Gondor. Il souhaitait réaliser un échange de carte, tout en voyant les informations précises de son royaume valorisées. Cependant, même après qu'il eut bien amélioré son offre, le Rohan se refusa à céder ses informations et ce ne fut là qu'un moyen d'arrondir le budget du Gondor.
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Enfin l'été fut l'occasion pour d'autres familles de s'installer dans les régions qui en avaient besoin sous l'incitation du royaume. L'automne précédent, un nombre assez important avait été encouragés, dont une partie à destination de l'île de Tolfalas depuis Pelargir.note 4
Le coût financier étant cependant tout à fait notable, seules les régions de Drúedan et d'Erech virent cet apport, depuis Minas Anor et Dol Amroth.
Note 1 : Les joies des grosses batailles où il faut gérer ce qui se passe à plusieurs endroits.

Note 2 : Ils ne pouvaient pas entrer sur le champ de bataille avant la déroute des cavaliers.
Note 3 : Eh oui deux résolutions automatiques, faire les combats soi-même, et plus encore en faire le récit, est très lourd. Sans être très intéressant à lire, je crois. Alors quand ça n'économise guère les hommes que de diriger le déroulement de la bataille en personne...
Note 4 : J'avais un peu oublié d'en parler

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