Campagne de Babylone terminée avec une victoire ultime histoire de sortir un peu de ma région de départ. ça c'est fini sur une grosse guerre face à Ougarit, puissance dominante des cananéens, qui avait éliminé Bay et vassalisé Ursu en plus de s'être taillée une belle part sur les hittites. Je me suis d'ailleurs fait trahir par mes deux vassaux locaux Ashaliya (le chypriote) et Byblos au départ de cette guerre, donc c'était un sacré bordel.
Dommage que la zone d'origine de Pharaoh ait conservé les petites cartes d'origine pour les batailles, pareil pour la Grèce qui réutilise les cartes de Troy, comparé avec les cartes de l'expansion mésopotamienne c'est beaucoup moins agréable à jouer.
J'ai jamais réussi à avoir ce bonus de succession forcée, l'IA a tendance à suicider les héritiers qu'on lui envoie en les mettant général d'une armée secondaire et même quand elle ne le fait pas j'ai l'impression que le code ne marche pas très bien et qu'elle change l'héritier entre temps. En tout cas même avec des relations très positives, être premier en rang de force il a fallu passer par un ultimatum pour confédérer un vassal, c'est risqué mais avec de bonne relation et une force supérieure l'IA accepte, c'est un peu chiant pour la réputation diplomatique mais pourquoi pas.
J'ai enchainé sur une autre campagne avec Peleset, le peuple de la mer prédisposé pour devenir sédentaire mais en conservant des atouts de hordes. J'avais juste fait le départ rapidement sur Pharaoh en janvier mais j'avais pas accroché, les voisins étaient trop mou. Ben maintenant, c'est plus la même, j'avais à peine pris Megiddo au tour 3 que j'étais en guerre contre tous mes voisins sauf Bay. Départ un peu sport, surtout que l'IA a rapidement commencé à monter en qualité, heureusement l'armée semi-horde ça monte vite aussi.
Truc amusant, maintenant que les invasions peuvent s'installer, ça devient difficile de descendre en dessous de pilier de civilisation en crise. J'ai pas encore réussi à atteindre l'effondrement.
Le jeu s'est nettement amélioré, le rôle des unités est quand même nettement mieux défini et c'est plus agréable sur le champs de bataille, la létalité c'est un bon ajout même si je le trouve pour le moment beaucoup trop fort sur les tireurs, ça passe encore sur les frondeurs, c'est trop élevé sur les archers. Les changements sur la ligne de vision marche bien, pouvoir cacher une unité de char derrière une forêt ou encore réaliser au dernier moment que dans la bataille de ville il y avait une unité embusquée à l'intersection c'est cool. Par contre ça peut être un peu chiant car ça annule des ordres de charge, les unités passant parfois de l'état repérées à dissimulées en boucle.
On a des problèmes toujours bien présent. On conserve les collisions unités brouillonnent bien trop courant dans la version Troy/Pharaoh avec des unités ennemis qui force le passage à travers nos troupes, les unités qui se bloque dans les fuyards et qui fait une charge ridicule et qui ne cherche pas à frapper les fuyards sur leur chemin, ce genre de chose. Quelques soucis de l'IA tactique bien marqué aussi, surtout en siège, les renforts qui cherche à tout prix à rejoindre la ville sans se battre, ou encore des ordres suivit de contre ordre qui les font tourner en bourrique en défense dans les sièges et en attaque elle s'arrête parfois carrément de bouger.
Sur la carte de campagne j'ai remarqué que l'IA si elle est beaucoup plus dynamique que dans Pharaoh a toujours de gros problèmes par moment, certaines factions parfois majeures restent passives, c'est le cas de Bay, ou même d'Irsu qui pourtant devrait être ultra agressif. Plus gênant certaines IA après avoir perdu leurs armées initiales lèvent 4 armées composées seulement du général. Des fois aussi elles ne tentent pas de sortie contre une armée de siège pourtant bien pourrie, j'ai vu mon vassal avec une armée de 9 unités prendre une ville en l’affamant alors qu'elle avait une garnison de 25 unités (bon heureusement contre le joueur elle va sortir).
Si les IA décide de raser régulièrement une ville, elles ont pas contre tendance à ne jamais recoloniser (sauf les invasions étrangement). Dans ma partie avec les Peleset, Bay n'a jamais colonisé en 30 tours la ville de Goubal que j'avais rasé, alors qu'il s'agit de la ville majeure de sa province et qu'il n'a jamais été en guerre. Avec Babylone j'avais récupérer un bon quart de mes territoires juste en recolonisant des terres abandonnés de longue date
C'est devenu un bon opus, surtout pour son prix, mais il a quand même des défauts que j'espère seront patché
Dommage que la zone d'origine de Pharaoh ait conservé les petites cartes d'origine pour les batailles, pareil pour la Grèce qui réutilise les cartes de Troy, comparé avec les cartes de l'expansion mésopotamienne c'est beaucoup moins agréable à jouer.
J'ai jamais réussi à avoir ce bonus de succession forcée, l'IA a tendance à suicider les héritiers qu'on lui envoie en les mettant général d'une armée secondaire et même quand elle ne le fait pas j'ai l'impression que le code ne marche pas très bien et qu'elle change l'héritier entre temps. En tout cas même avec des relations très positives, être premier en rang de force il a fallu passer par un ultimatum pour confédérer un vassal, c'est risqué mais avec de bonne relation et une force supérieure l'IA accepte, c'est un peu chiant pour la réputation diplomatique mais pourquoi pas.
J'ai enchainé sur une autre campagne avec Peleset, le peuple de la mer prédisposé pour devenir sédentaire mais en conservant des atouts de hordes. J'avais juste fait le départ rapidement sur Pharaoh en janvier mais j'avais pas accroché, les voisins étaient trop mou. Ben maintenant, c'est plus la même, j'avais à peine pris Megiddo au tour 3 que j'étais en guerre contre tous mes voisins sauf Bay. Départ un peu sport, surtout que l'IA a rapidement commencé à monter en qualité, heureusement l'armée semi-horde ça monte vite aussi.
Truc amusant, maintenant que les invasions peuvent s'installer, ça devient difficile de descendre en dessous de pilier de civilisation en crise. J'ai pas encore réussi à atteindre l'effondrement.
Le jeu s'est nettement amélioré, le rôle des unités est quand même nettement mieux défini et c'est plus agréable sur le champs de bataille, la létalité c'est un bon ajout même si je le trouve pour le moment beaucoup trop fort sur les tireurs, ça passe encore sur les frondeurs, c'est trop élevé sur les archers. Les changements sur la ligne de vision marche bien, pouvoir cacher une unité de char derrière une forêt ou encore réaliser au dernier moment que dans la bataille de ville il y avait une unité embusquée à l'intersection c'est cool. Par contre ça peut être un peu chiant car ça annule des ordres de charge, les unités passant parfois de l'état repérées à dissimulées en boucle.
On a des problèmes toujours bien présent. On conserve les collisions unités brouillonnent bien trop courant dans la version Troy/Pharaoh avec des unités ennemis qui force le passage à travers nos troupes, les unités qui se bloque dans les fuyards et qui fait une charge ridicule et qui ne cherche pas à frapper les fuyards sur leur chemin, ce genre de chose. Quelques soucis de l'IA tactique bien marqué aussi, surtout en siège, les renforts qui cherche à tout prix à rejoindre la ville sans se battre, ou encore des ordres suivit de contre ordre qui les font tourner en bourrique en défense dans les sièges et en attaque elle s'arrête parfois carrément de bouger.
Sur la carte de campagne j'ai remarqué que l'IA si elle est beaucoup plus dynamique que dans Pharaoh a toujours de gros problèmes par moment, certaines factions parfois majeures restent passives, c'est le cas de Bay, ou même d'Irsu qui pourtant devrait être ultra agressif. Plus gênant certaines IA après avoir perdu leurs armées initiales lèvent 4 armées composées seulement du général. Des fois aussi elles ne tentent pas de sortie contre une armée de siège pourtant bien pourrie, j'ai vu mon vassal avec une armée de 9 unités prendre une ville en l’affamant alors qu'elle avait une garnison de 25 unités (bon heureusement contre le joueur elle va sortir).
Si les IA décide de raser régulièrement une ville, elles ont pas contre tendance à ne jamais recoloniser (sauf les invasions étrangement). Dans ma partie avec les Peleset, Bay n'a jamais colonisé en 30 tours la ville de Goubal que j'avais rasé, alors qu'il s'agit de la ville majeure de sa province et qu'il n'a jamais été en guerre. Avec Babylone j'avais récupérer un bon quart de mes territoires juste en recolonisant des terres abandonnés de longue date
C'est devenu un bon opus, surtout pour son prix, mais il a quand même des défauts que j'espère seront patché
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