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  • Voui...quoique face à la Chine ils investissent plutôt dans la marine...
    Enfin 126 avions ça fait beaucoup, c'est une sacré commande.
    Dernière modification par Blackadder, 31-01-2012, 17h12.

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    • Non, mais sincèrement et sans faire d'achats pour faire des achats ( style brésil), le meilleur navion polyvalent, c'est le Rafale. Le F-22 ne décollant jamais et le F-35 qui est encore une vaste blague.

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      • F-35 qui est encore une vaste blague.
        Si c'est américain, c'est bien!



        La preuve, Firefox, l'arme absolue!

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        • Envoyé par Faras Voir le message
          Heu, L'Inde a besoin de ces navions, ils ont le Pakistan qui est pas très très coupaing avec eux, et une Chine potentiellement menaçante .
          Ouais d'ailleurs, j'attends de voir l'évolution des relations diplomatiques franco-pakistanaises après l'officialisation de la vente et les premières livraisons. Déjà qu'elles sont pas fameuses, mais là c'est la cerise sur les cadeaux.
          En quelques mots, on livre aux indiens de quoi vaincre le Pakistan en une journée. Heureusement que le Pakistan a l'arme nucléaire histoire de calmer les éventuelles tentations.

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          • Ils ont des pilotes formés au moins les Indiens, et le coût de l'entretient et de l'armement est compris dans le prix des navions, parce que si ce n'est pas encore le cas, les Paki ont pas de soucis à se faire avant quelques temps!
            Et les 126 avions vont pas se faire en 15 jours, c'est sur des années que ça ce passe, regardez avec Airbus.

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            • Sûrement entre 5 et 10 ans pour la livraison entière sachant qu'on fournit toujours plus vite les acheteurs que notre propre nation et en prenant compte les retards et renégociations inévitables. Autant dire que c'est rien.

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              • Envoyé par Faras Voir le message
                Non, mais sincèrement et sans faire d'achats pour faire des achats ( style brésil), le meilleur navion polyvalent, c'est le Rafale. Le F-22 ne décollant jamais et le F-35 qui est encore une vaste blague.
                Si tu le dis...ça m'étonne que tu aies oublié de mentionner la rive gauche du Rhin...
                Plus sérieusement, d'après le Canard Enchaîné (certes pas spécialiste d'affaires militaires mais jamais en défaut en questionnant des experts) l'avion est bon mais très cher au regard de ses capacités.

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                • Moins que le F-35-B.... Bon après lui il atterrie verticalement c'est classe, ça vaut bien quelques millions de plus.

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                  • je crois que le F 35 est moins bon que le F-22...

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                    • Quand même pas Blackadder, je te rappelle que tu parles d'un avion qui est resté cloué sur les portes-avions pendant deux ou trois semaines lors de la guerre d'intervention en Lybie à cause de multiples problèmes techniques. Après je t'accorde que le F-35 est bien parti pour devenir lui aussi une vaste blague ( il se fait locker par un Rafale SANS MICA la dernière fois ololz).

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                      • Un avion qui reste cloué au sol, ça peut être un F-48 ou un Dewoitine, ça revient au même!

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                        • Le F35B a été mis de coté pour le moment (c'est pourquoi les britanniques s'intéressent au Rafale du reste...), le F35 plus prosaiquement est un avion qui sera au point dans 10 ans, se sera le must have pour la tranche 2020-2050.

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                          • Autant au point que le F-22? : gros troll :

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                            • Grandes manœuvres amphibies internationales sur la côte Est des Etats-Unis

                              Un débarquement, un assaut aérien, 25 navires impliqués: les Etats-Unis et huit autres pays, dont la France, conduisent le long de la côte Est des Etats-Unis un exercice amphibie majeur, Bold Alligator, destiné à contrer une menace rappelant celle de l’Iran.
                              Ces manoeuvres, pour la première fois ouvertes par les Américains à d’autres pays, constituent «l’exercice amphibie le plus important des dix dernières années», selon l’amiral John Harvey, chargé de la gestion de la flotte américaine.
                              Quelque 20.000 Américains, dont une brigade de Marines, 650 soldats français, des troupes de marine canadiennes, néerlandaises et britanniques, ainsi que des officiers de liaison italiens, espagnols, néo-zélandais et australiens prennent part à l’exercice qui a débuté le 30 janvier au large de la Virginie et de la Caroline du Nord et se termine à la mi-février.
                              Un porte-avions, des navires de débarquement, dont le Mistral français, des dragueurs de mines canadiens et des dizaines d’aéronefs ont également été mobilisés pour l’exercice.

                              650 soldats français


                              Le «jour J» s’est déroulé lundi matin, avec les Marines américains débarquant à l’aide de leurs aéroglisseurs sur une plage de la base de Camp Lejeune, en Caroline du Nord.
                              Avec leurs AMX-10 et leurs véhicules de l’avant blindé (VAB), la mission des Français a été de «débarquer en premier pour sécuriser un passage pour les Américains qui ont débarqué un peu plus loin sur la plage, afin d’apporter une couverture pour faciliter leur installation» face aux forces ennemies, a expliqué à l’AFP le sous-lieutenant Chens Bouriche, officier de communication du 3e Régiment d’artillerie de marine.
                              Officiellement, l’exercice a pour objectif de «revitaliser, peaufiner et renforcer les compétences amphibies» américaines après dix ans de guerres dans les sables d’Irak et les montagnes d’Afghanistan, selon les organisateurs.
                              Pour les besoins de l’exercice, un scénario de crise a été créé de toutes pièces: le Garnet (Grenat), une théocratie, a envahi son voisin du Nord, l’état côtier d’Amber (Ambre) et poursuit sa course vers un autre pays, l’Amberland, qui a appelé au secours la coalition internationale. Le Garnet a miné certains ports et installé des missiles antinavires le long de la côte.

                              L'enjeu du détroit d'Ormuz


                              Les deux organisateurs, l’amiral Harvey et le général des Marines, Dennis Hejlik, se défendent d’avoir créé ce scénario sur la base d’un pays précis.
                              Mais en creux, c’est bien de l’Iran qu’il semble s’agir et de sa capacité à «fermer» le détroit d’Ormuz en y interdisant l’accès à l’aide de mines et de missiles antinavires.
                              Interrogé par des journalistes, l’amiral Harvey a reconnu que ce scénario était «applicable» à une crise dans le stratégique détroit d’Ormuz.
                              Les tensions avec l’Iran et la menace d’une intervention israélienne contre son programme nucléaire controversé ont grimpé depuis le début de l’année, Téhéran soufflant le chaud et le froid sur une éventuelle fermeture du détroit, passage stratégique pour le transport de pétrole.
                              (AFP)

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                              • Les États-Unis, l'OTAN et des États du Golfe s'apprêtent à confronter l’Iran

                                L’alliance États-Unis-OTAN-Conseil de coopération du Golfe semble se préparer à une confrontation militaire avec l’Iran.

                                Le site web israélien DEBKA spécialisé dans le renseignement rapporte (citant des sources militaires occidentales) que Barack Obama a « secrètement ordonné aux forces aériennes, navales et de la marine des États-Unis d’envoyer une forte concentration de troupes sur deux îles stratégiques : à Socotra, située dans l’archipel yéménite de l’océan Indien, et Masirah, l’île omanaise située à l’embouchure sud du détroit d’Ormuz.

                                On dit qu’il s’agit de « la plus importante concentration de la puissance étasunienne dans la région depuis que les États-Unis ont envahi l’Irak en 2003 [lorsque] 100 000 troupes avaient été ralliées au Koweït avant l’invasion ».

                                En envoyant des troupes par avion dans ces îles « presque quotidiennement » à partir de la base navale avoisinante de Diego Garcia, « à la mi-février, Washington aura environ 100 000 troupes sur place et disponibles pour toute éventualité » selon les sources de DEBKA.

                                L’article mentionne qu’au début mars, « trois porte-avions étasuniens et leurs groupes de frappe, ainsi qu’un porte-avion français arriveront dans le golfe et la mer d’Oman : […] l’USS Abraham Lincoln, l’USS Carl Vinson, l’USS Enterprise et le porte-avions à propulsion nucléaire Charles de Gaulle ».

                                DEBKA cite par ailleurs des « reportages indiquant que des forces spéciales, aériennes et navales ont atterri ce mois-ci en Arabie Saoudite et aux Émirats arabes unis ».

                                Les Saoudiens seraient eux aussi en train de déployer des troupes dans les « régions pétrolières à l’est face au golfe Persique. Mondialisation.ca a couvert cette concentration militaire ainsi que les opérations clandestines sur le terrain en Iran, des sujets qui ne reçoivent pas l’attention des médias dominants.

                                Des forces spéciales des États-Unis et de leurs alliés ainsi que des agents du renseignement sont déjà sur le terrain en Iran. Des drones militaires étasuniens sont utilisés dans des activités de reconnaissance et d’espionnage. Par ailleurs, des troupes ont été déployées en grand nombre au Moyen-Orient, sans compter le redéploiement des troupes alliées auparavant en garnison en Afghanistan et en Irak.

                                Neuf mille troupes étasuniennes ont été envoyées en Israël [...] afin de tester de mutliples systèmes de défense aériens, particulièrement le système « Arrow », développé à l’aide des États-Unis pour intercepter les missiles iraniens.

                                Des reportages suggèrent également une augmentation substantielle du nombre de réservistes déployés au Moyen-Orient. D’autres reportages confirment que des réservistes de l’US Air Force ont été déployés dans des bases militaires en Asie du Sud-Ouest (golfe Persique). (Voir l'article en anglais de Michel Chossudovsky, Beating the Drums of War: Provoking Iran into "Firing the First Shot"?, Global Research, 14 janvier 2012)

                                Pour plus d’information voir notre dossier sur l’Iran :

                                Julie Lévesque a collaboré à ce reportage.

                                Source : Mondialisation.ca

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