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    EDIT Zaz: roh! La réponse mono-mot!

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    • Est-ce qu'on peut trouver les chiffres de la France quelque part, pour comparer ? J'ai cherch? rapidement sur Wiki et sur le site du minist?re, sans succ?s ...

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      • Ici.

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        • Cela dit je crois que l'?ducation est largement du ressort des Etats aux Etats-Unis. En France je crois que c'est 30% pour l'Educ Nat et 18% environ pour la D?fense, mais je n'en suis pas s?r. En tout cas, c'est dans cet ordre l

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          • Les ?coles (et particuli?rement les grandes ?coles) aux Etats Unis ont leur propres financements, ?a fonctionne comme des entreprises. En France, la "Fac pour tous" *sic* nous coute un pognon dingue pour des r?sultats carr?ment mauvais.

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            • La flotte russe reste à Sébastopol pour trente ans

              En contrepartie d'un accord sur le prix du gaz russe, l'Ukraine permet à la Russie d'asseoir sa présence militaire sur la mer Noire.

              Du gaz moins cher contre des bateaux de guerre. C'est le troc historique auquel sont parvenues mercredi la Russie et l'Ukraine, à l'occasion de la première visite dans le pays, à Kharkiv, du président Dmitri Medvedev auprès de son homologue récemment élu, Viktor Ianoukovitch.


              En même temps qu'il soulage les finances de l'Ukraine -durement mises à mal par la crise- cet accord permettra à Moscou d'asseoir sa présence militaire à Sébastopol, dans cette péninsule de Crimée majoritairement russophone. Le texte paraphé mercredi scelle la réconciliation russo-ukrainienne, cinq après la «révolution orange» et les dissensions avec l'ancienne coalition pro-occidentale au pouvoir à Kiev. Le chef du Kremlin en a clairement énoncé les termes: Moscou vendra son gaz à l'Ukraine moins cher, en échange de quoi la flotte russe pourra prolonger son bail à Sébastopol au-delà de l'échéance de 2017. Le document en forme de donnant donnant «symbolise notre amitié» commune, a déclaré le président russe, tandis que Ianoukovitch saluait un accord «sans précédent».


              Ce délai de 2017 avait été fixé en 1997 -soit une durée de vingt ans- moyennant le versement par l'armée russe, à la ville de Sébastopol, d'une rente annuelle de 100 millions de dollars (74 millions d'euros). Désormais, les navires ruses sont assurés de pouvoir rester jusqu'en…2042, voire 2047.


              Pour Moscou, cette prolongation représente un intérêt stratégique considérable. À Sébastopol, la Russie dispose d'une trentaine de bateaux, dont le croiseur lance-missiles Moskva. Durant la guerre russo-géorgienne de l'été 2009, la base russe de Sébastopol s'était révélée stratégique. Moscou avait envoyé un croiseur en mer Noire afin de contrecarrer des manœuvres «humanitaires» de l'Otan. Vieillissante, cette flotte devrait recevoir d'ici à cinq ans deux nouvelles corvettes et trois sous-marins, a précisé mercredi une source au sein de l'état-major.


              L'intérêt pour la Russie est également symbolique: continuer à faire flotter à Sébastopol le drapeau russe. C'est en 1954 que Krouchtchev avait cédé la péninsule de Crimée -autrefois intégrée à l'empire- à la république socialiste d'Ukraine. Trente-neuf ans plus tard, en 1993, cette dernière devenait indépendante. Outre le siège de la flotte de la mer Noire, Moscou dispose, dans cette ville de 380 000 habitants et à 70% russe, d'un centre de communications, d'un hôpital militaire et de deux régiments (infanterie de marine et aérien).

              7 milliards d'économies


              En contrepartie, Kiev bénéficiera d'une ristourne sur le prix du gaz russe, qui pourra atteindre 100 dollars pour 1 000 mètres cubes. Parallèlement, le volume des achats ukrainiens augmentera de 10 milliards de mètres cubes par an. Au final, l'Ukraine devrait réaliser une économie d'environ 7 milliards de dollars en 2010 et 2011 (5,2 milliards d'euros). Cela lui permettra de soulager sa charge budgétaire et de recevoir rapidement une importante aide financière du FMI.


              Économiquement, l'Europe, qui avait été l'otage depuis 2006 de deux «guerres du gaz» russo-ukrainiennes, devrait bénéficier d'une plus grande sécurité dans ses approvisionnements: 80% du gaz qu'elle consomme transitent par ce pays. Mais, politiquement, elle est condamnée à assister au spectacle d'une Ukraine qui, lentement, retourne dans l'ancienne sphère d'influence russe.


              A mon avis, les dernières élection ont visiblement jouées en la faveur des Russes sur ce dossier. Voilà qui devrait calmer un peu le jeu et la pression autour de l'Abkazie. bonne chose ou mauvaise chose ? Je ne sais pas mais je suis d'avis qu'il est préférable de voir la Russie entretenir de bonnes relations avec ses anciennes provinces. Et puis faute de pouvoir conserver ce port d'attache (remis en question par le pouvoir précédent en Ukraine), les russes auraient du en refaire un autre dans les provinces séparatistes de Géorgie, l'éventualité de voir ce dossier se dégonfler un peu reste apaisant.

              Scud au Hezbollah : la polémique

              Les États-Unis cherchent à savoir si la Syrie a livré des missiles à ses alliés libanais.

              Damas a-t-il fourni des Scud au Hezbollah, comme l'en accuse Israël ? Après s'être dit «inquiet», Washington a convoqué le plus haut diplomate syrien en poste dans la capitale fédérale, et déploré «un comportement provocateur» de Damas. Certes, l'Administration Obama n'a pas de preuves d'un transfert de missiles balistiques au «Parti de Dieu» pro-iranien, mais un haut responsable, cité par l'agence Reuters, souligne que le représentant syrien n'aurait pas été convoqué «si nous ne pensions pas que quelque chose est en cours».


              Selon le site israélien Debka, la Syrie aurait, en fait, positionné des Scud non loin de sa frontière avec le Liban, prêts à être transférés, le moment venu, au Hezbollah, le mouvement chiite aidé par Téhéran dans son combat contre l'État hébreu. D'une portée de 700 kilomètres, ces missiles pourraient atteindre les installations militaires - et nucléaires - israéliennes situées dans le sud de l'État hébreu.
              Dans plusieurs messages adressés à la Syrie via des émissaires américains, Israël a averti qu'une livraison de Scud au Hezbollah conduirait Tsahal à riposter par des bombardements contre ces dépôts situés de part et d'autre de la frontière libano-syrienne. C'est la hantise des États-Unis, qui redoutent un embrasement, comme en 2006 lorsque Tsahal se lança dans 33 jours de guerre au Liban, après la capture de deux de ses soldats par la milice chiite. À quatre reprises ces derniers mois, des officiels américains ont donc relayé cet avertissement aux autorités syriennes, le dernier en date étant le sénateur John Kerry lors de sa rencontre, début avril à Damas, avec le président Bachar el-Assad.

              La France sceptique

              La livraison de Scud au Hezbollah renforcerait considérablement sa capacité d'action contre l'État hébreu, mais un tel transfert est loin d'être aisé. «Un Scud ne passe pas inaperçu», observe le général Alain Pellegrini, ancien patron de la Force intérimaire des Nations unies au Liban. «C'est beaucoup plus difficile à cacher que des roquettes Katioucha, et c'est également plus difficile à actionner.» D'où les entraînements de plusieurs brigades du Hezbollah au maniement des Scud, accusent Israël.


              Que rechercheraient les parrains syriens et iraniens du Hezbollah en lui fournissant ces missiles ? À lui donner les moyens de riposter, par procuration, en cas de frappes israéliennes sur les installations nucléaires iraniennes. Si des sanctions sont actuellement à l'étude au Conseil de sécurité de l'ONU à New York pour convaincre Téhéran à renoncer à son programme nucléaire, personne, en effet, ne se fait d'illusion sur leur efficacité.


              Cette affaire embarrasse les États-Unis, qui se sont rapprochés de la Syrie, ces derniers mois. Washington a besoin de Damas pour stabiliser l'Irak, à cent jours du départ de 40 000 soldats américains de l'ancienne Mésopotamie.


              La France, de son côté, affiche un certain scepticisme face aux accusations israéliennes. Elle s'est contentée de demander des explications aux autorités syriennes. «Quel intérêt de posséder des Scud qui seraient rapidement interceptés par la défense israélienne, une fois lancés ? », s'interroge un diplomate. Pour que ces missiles transpercent les mailles du filet, il faudrait que le Hezbollah effectue des tirs de saturation dans l'espoir qu'un des Scud parvienne à sa cible.


              Damas nie vouloir approvisionner le Hezbollah en Scud. Et dénonce une campagne de propagande israélienne qui la vise tout comme elle vise le Hezbollah, mais aussi l'Administration Obama, «coupable» de s'être rapprochée de Damas. Les Syriens accusent Israël de chercher à saper les efforts américains à leur égard, au moment où les relations entre Tel-Aviv et Washington sont au plus bas, en raison du différend sur la colonisation en Cisjordanie et à Jérusalem-Est.
              Chiffres clés de l'armée syrienne en 2001
              • 215 000 hommes
              • + 300 000 réservistes
              • + 10 000 Gardes Républicains (forces spéciales)

              Population actuelle : autour de 23 millions d'habitants.

              Dans ce dossier, chacun avance ses pions, les USA disposent des patriotes du coté du Qatar etc... l'Iran de son coté mobilise des actions de ses partenaires, amis et alliés... Israel fait de l'info (ou de l'intox) pour intervenir ici ou là... et nous on ne voit jamais rien, tout va bien dans le meilleur des mondes

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              • Nucl?aire: la France isol?e ? l'Otan?

                Aujourd'hui et demain, les ministres des Affaires ?trang?res de l'Otan se r?unissent ? Tallinn pour ?voquer le futur de l'Alliance Atlantique - dont le sort sera d?finitivement scell? en novembre prochain lors du sommet des chefs d'Etat, qui, ? Lisbonne, devront adopter le nouveau concept strat?gique de l'Organisation.

                Parmi les sujets qui seront ?voqu?s ? Tallinn puis ? Lisbonne, il en est un qui pr?occupe particuli?rement la France: le futur r?le de l'arme atomique dans la d?fense de l'Alliance.

                A Paris, on consid?re capital que ce r?le demeure le plus important possible - de fa?on ? ne pas "d?cr?dibiliser" la force de frappe fran?aise et surtout ?viter que les pressions internationales pour une diminution de l'arsenal fran?ais ne deviennent trop fortes.

                Il y a quelques mois, l'?quipe Sarkozy ?tait paniqu?e. Elle redoutait que l'administration Obama -dont l'ambassadeur ? l'Otan est un fervent partisan du Global Zero- et certains pays europ?ens "abolitionnistes" ne veuillent faire accepter ? Lisbonne un retrait total des derni?res armes atomiques am?ricaines du Vieux Continent.

                En f?vrier, cinq pays europ?ens (l'Allemagne, le B?n?lux et la Norv?ge) ont d'ailleurs fait conna?tre leur souhait de voir les bombes nucl?aires am?ricaines stationn?es chez eux rentrer d?finitivement aux USA.

                Mais, au fil des contacts avec Washington, la crainte des Fran?ais a diminu?. Et la "Nuclear Posture Review" divulgu?e il y a quelques jours par le Pentagone a fini de rassurer Paris.

                Dans ce document, il apparait en effet clairement que la Maison Blanche n'entend pas retirer toutes les armes am?ricaines (200, dit-on) stationn?es en Europe puisqu'il y est question d'une modernisation de celles-ci - ou d'une partie, en tous cas.

                Pour Paris, le pire semble donc ?vit?.

                Mais la diplomatie fran?aise reste sur ses gardes. Elle redoute d?sormais que, conform?mement ? son engagement de "r?duire le r?le de l'arme nucl?aire", l'administration Obama, suivie par les cinq pays pays europ?ens cit?s plus haut, ne cherche ? faire adopter par l'Alliance un concept strat?gique dans lequel le primat de la d?fense europ?enne ne serait plus accord? ? l'arme atomique seule mais ? un mix entre la bombe et le bouclier anti-missiles.

                Une telle ?volution poserait un s?rieux probl?me ? la France qui risque de se voir ? terme contrainte d'expliquer la raison d'?tre de sa force de dissuasion qu'elle envisageait justement de p?renniser et de justifier en la transformant en une dissuasion ?largie ? l'Union Europ?enne (id?e que le bouclier anti-missile am?ricain rendrait d?finitivement caduque.)

                Comme le nouveau concept strat?gique est approuv? par consensus, la France pourrait th?oriquement s'opposer ? tout changement de doctrine sur ce sujet- elle ne fait pas partie du Groupe nucl?aire, mais le concept sera adopt? au niveau politique par les chefs d'Etat, y compris donc Nicolas Sarkozy.

                Mais, si elle brandit son v?to, elle risque de s'isoler dangereusement sur la sc?ne europ?enne et atlantique.

                Sur ce dossier, elle a donc besoin d'alli?s.

                Jusque r?cemment les pays de l'Europe de l'Est semblaient ?tre ses alli?s naturels. Ils redoutaient qu'un retrait des armes atomiques am?ricaines n'entrainent un d?couplage entre le Vieux Continent et les Etats-Unis - leur cauchemar. Mais depuis que Washington a fait savoir que le couple euro-am?ricain reposerait d?sormais sur le bouclier anti-missiles, ils semblent moins attentifs ? la doctrine nucl?aire de l'Alliance.

                Reste la Grande Bretagne, seule autre puissance nucl?aire en Europe.
                Elle est en pleine r?flexion sur l'avenir de sa propre force de frappe puisque ses missiles arrivent en fin de vie et qu'une d?cision doit ?tre prise sur leur remplacement.

                Tout va d?pendre du r?sultat des ?lections l?gislatives de mai.

                Les diplomates "nucl?aires" fran?ais prient pour que les Lib?raux D?mocrates, qui ont adopt? les positions les plus favorables ? un d?sarmement unilat?ral de la Grande Bretagne, ne l'emportent pas.
                Car si cela arrive, la France sera totalement isol?e.

                Or, depuis le premier d?bat t?l?vis? de la campagne ?lectorale outre manche au cours duquel le leader des LibDem, Nick Clegg, a crev? l'?cran, une telle victoire, jusque l? tout ? fait improbable, n'est plus impossible...


                Sarkozy, il y a peu, avait utilis? une formule assez astucieuse pour ne pas trop engager la France dans la voix de la d?nucl?arisation militaire. En gros ?a disait que la France r?duirait son stock d'arme quand les USA et la Russie arriveraient au m?me volume que nous possedons. Gageons que ?a nous laisse pas mal de marge

                Chiffres en 2006 :
                • Russie : 16 000, dont 5 830 actives
                • ?tats-Unis : 9 962, dont 5 735 actives
                • France : 348 t?tes actives
                • Royaume-Uni : plus de 200, dont un peu moins de 200 actives.
                • Chine : environ 200, dont environ 145 actives
                • Inde : 40 ? 50 t?tes, presque toutes actives
                • le Pakistan : 50 ? 60, presque toutes actives
                • Isra?l : une centaine seraient actives.

                La France qui a r?int?gr? le haut commandement de l'OTAN que tr?s r?cement, fais donc entendre sa voix quitte ? s'isoler un peu sur le dossier nucl?aire.

                Je pense, qu'il serait bon, tout simplement, que l'OTAN n'envisage pas l'application de l'arme nucl?aire dans ses intervention qui entraineraient la voix des pays qui la compose alors qu'eux m?mes, pour beaucoup, n'ont pas l'arme atomique.

                L'OTAN aujourd'hui n'a pas ? utiliser ce genre d'arme et il est particuli?rement inqui?tant, dans les derni?res d?claration d'Obama, de consid?rer que l'arme pourrait ?tre utilis?e si n?cessaire et m?me si le pays cibl? n'a pas lui m?me l'arme.

                L'utilisation du nucl?aire devrait rester une arme souveraine attach?e ? l'?tat qui la commande et non int?gr?e dans un jeu d'engagement g?ostrat?gique au sein d'un groupe comme l'OTAN.

                Faut il condamner la France pour ?tre attentive quant ? sa strat?gie de dissuasion ? Oui et non. Oui d'un point de vue humain, forc?ment, l'utilisation de telles armes d?passant tout cadre moralement acceptable. Non, dans le sens o? nous ne sommes structurellement pas en mesure d'assurer une politique de d?fense alternative qui ferait fie du nucl?aire.

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                • Que cache l?US Air Force en lan?ant sa navette spatiale sans ?quipage ?

                  La navette sans ?quipage X-37B a ?t? lanc?e jeudi soir par l?US Air Force, depuis Cape Canaveral en Floride, gr?ce ? une fus?e Atlas V. La dur?e et la finalit? du vol en orbite ont ?t? tenues secr?tes par l?arm?e am?ricaine.

                  Cette navette miniature (8,90 m de long) construite par Boeing ?volue de fa?on automatique ? une altitude op?rationnelle situ?e entre 200 et 925 km et peut rester en orbite pendant 270 jours (seulement 16 jours pour sa "grande soeur" avec ?quipage).

                  Le secret autour de ce programme - le co?t de la mise au point du X-37B n?est pas divulgu? par le Pentagone - suscite de nombreuses interrogations. Pour certains, il est envisageable que cette navette serve ? mettre "discr?tement" en orbite de petits satellites militaires. L?hypoth?se "guerre des ?toiles" voue le X-37B ? un r?le plus destructeur, par l?interm?diaire de syst?mes d?armes laser.

                  Il est ?galement question d?un autre lancement spatial (par une fus?e Minotaur IV sur la base de Vandenberg) pass? plus inaper?u : " It was carrying the prototype of a new weapon that can hit any target around the world in less than an hour. " (il portait le prototype d?une nouvelle arme capable de frapper une cible n?importe o? dans le monde en moins d?une heure).

                  Si The Times dit vrai, le proche espace pourrait bient?t abriter des armes redoutables, et devenir ainsi un ?ni?me champ de bataille o? l?homme perp?tuera ses d?lires guerriers...


                  Pourquoi je n'ai pas mis ?a dans la course ? l'espace ? Et bien pour le caract?re militaire de cette annonce. Le probl?me est que si l'am?rique se lance dans une nouvelle "guerre des ?toile.2010" la Chine va lui emboiter le pas rapidement pour ne pas ?tre distanc?.

                  L? o? Moscou n'avait pas pu s'aligner dans les ann?es 80, les chinois pourraient bien relever le d?fi. Le pourquoi est simple, actuellement leader sur la capacit? de nuisance des syst?me, la Chine ne se laissera pas cerner par une situation dont il ne saurait tenir un volet. Ils ont ax? la guerre cybern?tique au coeur d'un ?ventuel conflit opposant les super puissance, l'espace et les satellites doivent faire partie de l'ensemble des choses sur lesquels ils ne veulent pas se laisser sans moyen d'action. Avec une flotte spatiale, l'Am?rique pourrait casser rapidement du satellite, mais aussi cibler des position terrestres. La Chine a d?j? montr? sa volont? spatiale, reste ? voir si cel? concerne aussi le volet militaire et si leur strat?gie de guerre futuriste tient compte de ce th?atre.

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                  • L? o? Moscou n'avait pas pu s'aligner dans les ann?es 80, les chinois pourraient bien relever le d?fi.
                    L'id?e de Reagan ?tait d'imposer ? Moscou soit de se mettre ? niveau (ruineux) soit de se laisser dominer (ruineux aussi). Les USA ?taient en position de force (ils le savaient) et la "guerre des ?toiles" ?tait une offensive, un coup final.
                    La politique am?ricaine actuelle est toute diff?rente dans la mesure o? l'objectif n'est plus de pousser l'adversaire ? se ruiner (ou ? se laisser d?passer) mais bien de "fortifier" son espace a?rien.
                    La guerre des ?toiles des ann?es '80 est bien dans l'esprit de la fin de la Guerre froide. Cette guerre des ?toiles-ci est plus dans l'esprit du d?but.

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                    • Tu as tout ? fait bien r?sum? la situation.

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                      • Un satellite tueur au dessus de nos t?te ?!

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                        • -dont l'ambassadeur ? l'Otan est un fervent partisan du Global Zero-
                          K?zako le Global Zero ?

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                          • Le d?sarmement nucl?aire total. Un terme ? vite oublier, vu qu'il risque pas de servir tr?s longtemps

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                            • Envoyé par Polo_lux Voir le message
                              Un satellite tueur au dessus de nos t?te ?!
                              Un satellite chasseur-bombardier plut?t...

                              Pour ceux qui ne seraient pas n?s ? l'?poque, il y a un docu mercredi sur Arte au sujet justement de l'essoufflement de l'URSS dans la course aux armements dans les ann?es '80.

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                              • Envoyé par Polo_lux Voir le message
                                Un satellite tueur au dessus de nos tête ?!
                                C'est pas vraiment un satélite. Un satélite ça reste en orbite, ça tourne et ça gravite. Là il est question d'une mini-navette d'environ 9 mètres qui peut graviter environ 270 jours (pour 16 avec les grosses navettes actuelles). On ne sait rien de la charge utile, mais on imagine que ça doit pouvoir trimballer du matos.

                                A quoi ça sert ? Je pense qu'envoyer un truc comme ça dans l'espace a un cout et qu'il faut donc légitimer sa présence dans l'espace. La Nasa pourrait s'en servir pour approvisionner (petite cargaison) une station ou un complexe. Mais dans l'immédiat ça n'a que peut d'intéret, surtout si la caractéristique sur la durée en orbite semble avoir été voulu à la hausse. Très limité donc de s'en servir comme cargo. Alors ? c'est pour les militaires. Ca va servir à tester plus énergiquement déjà, mais une fois opérationnel il faudra lui trouver un systeme d'arme et une notion d'autonomie énergétique si elle doit fonctionner. Je dis ça pour le laser qui doit être bien gourmand. Coté missile on y met ce qu'on veut, mais faut déterminer à quoi ça sert et les missiles dans l'espace, en fonction de l'objectif ça varie. Quoi qu'il en soit c'est un joujou stratégique à devenir. La première étape du développement d'une nouvelle arme à n'en pas douter très déterminante. C'est en général le cas pour toutes les nouvelles armes opérationnelles (ce qui nous donne du temps mais si la volonté est là ils y parviendront) et qui sont détenues que par un seul état.

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