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  • Ca me rappelle le glorieux scénario de Red Alert !

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    • Alien et Natzi? On se croirait dans un gros nanard.

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      • Je suis absolument fan de ce genre de docu un peu WTFesque, dans la même lignée il y a ceux avec la bible et les aliens!

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        • Les "Alien théory" vont très loin, comme quand ils abordent la question des pyramides qui ne seraient en fait pas des tombeau mais... des centrale énergétiques nucléaires pouvant servir à envoyer l'énergie dans l'espace sous forme de micro ondes.

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          • Ou comment décrédibiliser les témoignages de militaires et de scientifiques avec du n'importe quoi.

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            • Les "Aliens theory" sont a consommer avec modération selon moi.

              En tous cas ça me gonfle bien vite. Je rigole au début, et puis très vite ça m'ennui.

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              • Cette nuit en Asie : un risque de guerre entre la Chine et le Japon

                Oula /fear
                Dernière modification par Aaltar, 03-02-2014, 11h30.

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                • Vous voulez être interpellé par le phénomène OVNI ?





                  Alien Theory... C'est parfois à mourrir de rire... Même si leur théorie de dire que nos dieux seraient des manifestations extra terrestres mérite un certain intéret, leur histoire de nazis et d'aliens... C'est clair que cela entâme sérieusement le côté sérieux de la chose .

                  Mais le sujet OVNI, j'avoue que personnellement c'est une chose qui m'interpelle. Je reste scéptique... et dans les deux sens... Ca existe... soit mais je n'en ai jamais vu... Ca n'existe pas soit, mais pourquoi autant de témoignages (de pilotes, de militaires, de policiers, de civils), comment expliquer Phoenix, pourquoi le docteur Hyneck un scéptique dirigeant le projet Bleubook a t il complétement changé d'avis, qu'est ce que l'arméé de l'air belge a bien pu poursuivre dans les années 90, pourquoi les gouvernements mentent-ils (les USA ont déclaré ne plus s'intéresser au phénomène à la fin des année 60, or grace à la loi donnant accés à certaines données militaires secrètes votée au milieu des années 70, des doucuments déclassifiés nous prouvent totalement le contraire)...

                  Le problème c'est que certain"ufologues" font vraiment plus de mal au phénomène qu'il ne l'éclairent...
                  Je pense qu'il faudrait une approche plus scientifique du problème, un peu comme le fait J.P. Petit et ses travaux sur la magnétohydrodinamique...

                  Bref c'est un sujet qui je trouve est passionnant.
                  Dernière modification par elrond petit pas tapons, 03-02-2014, 12h04.

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                  • Inde : le Rafale attendra la fin des élections 2014

                    L’armée indienne reporte l’acquisition des 126 avions Rafale de Dassault Aviation pour des raisons budgétaires et après les élections, a déclaré le ministre de la Défense de l’Inde le 6 février.

                    New Delhi avait sélectionné le Rafale pour des négociations exclusives en janvier 2012 et avait prévu de finaliser la transaction, estimée à 15 milliards de dollars, d’ici fin mars 2014.

                    Mais les négociations pour acheter 18 avions fabriqués en France et construire le reste en Inde ont traîné et s’étendront dans l’exercice suivant, a déclaré le ministre de la Défense A.K. Antony lors d’une conférence à un salon de la Défense.

                    L’Inde est le plus grand importateur d’armes au monde depuis trois ans et a déjà dépensé 92% de son budget cette année, a t-il précisé.

                    « Ce marché majeur [pour l'achat du rafale] ne peut être possible que pour la prochaine année financière qui débute en avril. Il n’y a pas d’argent », a déclaré A.K. Antony. Le pays connait en outre des élections en mai et un nouveau gouvernement devrait s’installer le mois suivant.

                    L’Inde est en plein milieu d’un programme de modernisation de sa défense estimé à 100 milliards de dollars pour remplacer ses avions de l’ère soviétique et ses chars. L’objectif est de réduire l’écart avec la Chine, avec laquelle elle a mené une guerre frontalière en 1962, jamais réglée.
                    La lutte contre la corruption

                    Mais le programme de mise à niveau de la défense a évolué lentement, comme d’autres grands projets dans le cadre du gouvernement actuel et en partie en raison de l’insistance de A.K. Antony sur la transparence et l’intégrité du processus de passation des marchés de la défense, longtemps contaminé par des affaires de corruption.

                    Le mois dernier, le ministère de la défense a officiellement annulé un contrat de 556 millions d’euros signé en février 2010 avec AgustaWestland pour 12 hélicoptères AW-101 après que des pots de vin aient été versés à des intermédiaires pour obtenir le contrat.

                    M. Antony a déclaré qu’il pourrait y avoir des retards dans les décisions d’approvisionnement en armements qui subissent un contrôle en règle, et qu’il était important que l’Inde ne tolère aucun acte répréhensible dans ces offres.

                    « Tout le monde aura sa chance, si les produits sont bons et les prix sont bas. Il n’est pas nécessaire de faire du lobbying », a t-il ajouté.

                    L’Inde a choisi le Rafale après une surenchère contre l’avion Eurofighter, fabriqué par un consortium regroupant Airbus Group, Finmeccanica et BAE Systems.

                    Le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, a déclaré en décembre 2013 qu’il était optimiste quant à la finalisation de la vente du Rafale dans quelques mois, mais il n’était pas sûr qu’il serait scellé avant ou après l’élection nationale en Inde.

                    L’Indian Air Force, qui a lancé le processus d’acquisition en 2005, se plaint des retards qui affectent gravement sa puissance de frappe. Elle a été forcée de se tourner vers le marché étranger, car son programme de fabrication d’avions de combat locaux afin de remplacer les anciens MiG-21 est toujours en cours d’exécution après 15 années de retard.
                    Vous n'avez pas l'impression que le dossier va être cassé et qu'au final on va pas (non plus) les vendre nos raffales ?

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                    • Si on les vends pas, alors c'est l'Etat qui paiera encore Dassaut pour maintenir l'appareil de production, jusqu'aux prochains appels d'offre... Après cela dépendra de la politique indienne sur sa propre défense et ses canaux de distributions... Retour vers la Russie, fournisseur historique ou vers les États-Unis, voir l'Europe!

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                      • Moi je me pencherais plutôt sur "Qui a intérêt a ce que nos contrats militaires échouent systématiquement ?". On devrait toujours regarder le pays qui a abandonné le contrat et voir à qui il a acheté du matériel militaire juste après.

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                        • ■ L'Ukraine accuse la Russie d’occupation en Crimée
                          ■ Dans un même temps, Poutine déclenche mercredi des grandes manoeuvres dans l'Ouest du pays (près de l'Ukraine donc) avec un état des forces pour le moins conséquent : 150.000 soldats, 880 chars, 90 avions et 80 navires mobilisés

                          Article



                          sympa l'ambiance dans le secteur


                          Attention, qu'on ne s'y trompe pas, ce qui s'est récement passé en Ukraine nous a été traduit sous un prisme copieusement propagandiste. L'Europe a soutenue voir dilligenté la révolution nationale Ukrainiène et a utiliser l'extrème droite de ce pays pour satisfaire ses ambitions géostratégique en Europe de l'Est. Il n'est pas anormal de voir la Russie se cabrer face à ce qui a tout à fait l'allure des principes opérant durant la guerre froide et il est aussi tout à fait compréhensible que Poutine cherche à défendre ses propres intérêts stratégiques dans le secteur. Tout ça pour dire qu'on serait bien aviser de ne pas crier trop vite à l'infâmie tellement notre propre attitude (les pays occidentaux) n'a pas été des plus glorieuses dans le dossier Ukrainien, bien plus sâle qu'on a bien voulu nous le faire croire.

                          J'attire votre attention sur cet interview de Natalia Vitrenko, oposante du président Ukrainien déchu

                          Dernière modification par Aaltar, 28-02-2014, 11h26.

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                          • Normal aussi, les Russes vont pas laisser tomber les leurs, et surtout pas la Crimée avec Sébastopol.
                            Moi ce qui m'amuse c'est la différence dans les médias entre l'occupation du parlement à Kiev (révolution démocratiiiiiiiique renversant un président élu avec l'aide du fric des usa et des partis d'extrême-droite ) et celle en Crimée (Pas bien ! Remise en cause de l'intégrité territoriale ! Encore un coup des russes qui veulent abattre la gentille démocratie !)

                            Vivement le prochain discours de BHL montrant que Poutine c'est Hitler et les criméens des nazis.
                            Dernière modification par Faras, 28-02-2014, 11h19.

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                            • Petit panorama de l'équilibre géostratégique pour le moins titillé depuis quelques temps.

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                              Sébastopol, port en mer noire et principale point d'attache de la marine russe du sud. Il y a eut des crispations il y a quelques années quand l'Ukraine a rendu incertaine le bail d'occupation. Finalement la base navale leur a été laissé jusqu'en 2042. L'état actuel de l'Ukraine pourrait remettre en question certaines choses, à commencé par la marine russe sur l'ensemble des mers au sud de son territoire.

                              Comme on peut le voir, au delà des événements pris de manière isolés, il y a une problématique d'ensemble et sérieuse pour les russes.

                              Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi l'occident tente encore de jouer contre les russes alors qu'ils feraient bien mieux de consolider un rapprochement face à l'éventualité d'une menace chinoise sérieuse d'ici une ou deux décennies. Le petit jeu que l'Amérique joue en mettant l'UE comme tampon pourrait bien pousser la Russie à opter pour une stratégie pro-chinoise alors que ces derniers voulaient oeuvrer comme un pont entre la Chine et l'Europe... C'est dangereux cette politique étasunienne, elle a un autre volet du même ordre en mettant dos à dos l'Inde et la Chine... eux se mettent un peu partout en seconde ligne mais là, face à une Russie en pleine remilitarisation, je trouve qu'on nous met un peu trop facilement en première ligne d'éventuelles emmerdes.
                              Dernière modification par Aaltar, 28-02-2014, 11h44.

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                              • En Ukraine, l’Occident a ouvert la Boite de Pandore

                                Victoria Nuland, l’assistante du Secrétaire d’État US, a expliqué en décembre dernier devant le National Club Press de Washington que les États-Unis avaient investi cinq milliards de dollars afin de « donner à l’Ukraine l’avenir qu’elle mérite. ». C’est ce qu’écrit Paul Craig Roberts sur son Blog. Roberts est un ancien Secrétaire au Trésor des USA et en général il ne raconte pas n’importe quoi. Et j’ai aussi lu que Mme Nuland avait déjà choisi les membres du futur gouvernement ukrainien, une fois que Yanukovic aura été destitué (ou assassiné). L’Ukraine pourra ainsi avoir « l’avenir qu’elle mérite. »

                                Mais quel avenir l’Ukraine et les Ukrainiens méritent-ils ? Au train où vont les choses, aucun : il n’y aura plus d’Ukraine. Dans le fracas indescriptible des mensonges qui émanent des médias mainstream, la chose essentielle qui manque est la simple constatation que Yanukovic, ce énième « dictateur sanguinaire », a été élu par une large majorité des Ukrainiens. Personne n’avait alors contesté les élections après sa victoire contre Viktor Yushenko, même si la pilule avait été dure à avaler pour ceux qui en avaient financé l’ascension, et qui lui avaient même trouvé une femme. Peu de monde sait en effet que la deuxième épouse de Yushenko s’appelle Katerina Chumachencko, et qu’elle arrive directement du Département d’État américain (en charge des « droits de l’Homme »). Encore moins nombreux sont ceux qui savent que Katerina, avant de faire carrière à Washington, avait été l’une des membres les plus actives et influentes de l’organisation néonazie OUN-B dans sa ville natale, Chicago. OUN-B signifie Organisation des nationalistes ukrainiens de Stepan Bandera.

                                L’OUN-B, loin d’avoir disparu, a donné naissance au parti Svoboda, dont le slogan est « l’Ukraine aux Ukrainiens », le même que celui utilisé par Bandera lorsqu’il collabora avec Hitler durant la Seconde Guerre mondiale. Du reste, Katerina a dirigé le Comité du Congrès ukrainien, dont l’inspirateur est Jarolav Stetsko, le bras droit de Stepan Bandera. Ce qui revient à dire que le gouvernement américain s’est acoquiné avec les nazis ukrainiens émigrés aux USA avant de placer Katerina dans le lit de Yushenko.

                                De tout cela, les médias mainstream ne parlent pas. J’ai voulu faire cette digression pour dire que, certes, les Ukrainiens ont parfaitement le droit d’être mécontents de Yanukovic, et d’avoir changé d’idée. Nous aussi, nous avons le droit d’être mécontents de Napolitano, mais cela ne signifie pas pour autant que nous trouvions juste d’assaillir le palais présidentiel à coups de cocktails Molotov d’abord et de fusils-mitrailleurs ensuite. Il est pourtant essentiel de tenir compte de ces faits. Mais le plan, qui ne date pas d’hier, pensé par les États-Unis consiste à faire absorber l’Ukraine par l’Occident. Si possible toute entière.

                                Ainsi, en 1997, le polonais Zbignew Brzezinski(*), écrivait : « Si Moscou récupère le contrôle de l’Ukraine, avec ses 52 millions d’habitants et ses immenses ressources [énergétiques], la Russie contrôlera à nouveau la Mer noire et ce faisant, retrouvera automatiquement les moyens de redevenir un État impérial. » Voilà donc la raison des cinq milliards de dollars dont parle Mme Nuland. Ces dernières années, après la chute de Yushenko, des dizaines d’ONG, de fondations, d’instituts de recherche européens, américains et canadiens, ont envahi la vie politique ukrainienne. Des noms ? National Democratic Institute, International Foundation for Electoral Systems, International Research and Exchanges Board. Et pendant qu’on “travaillait à la culture”, et que l’on achetait toutes les principales chaines de télévision et de radio du pays, une partie des fonds servait aussi à financer les cellules paramilitaires que nous voyons aujourd’hui place Maidan, des milices qui grâce à ces aides, se sont multipliées.

                                On voit aujourd’hui l’émergence du Pravij Sector (« Secteur de droite » et « Spilna Prava »), mais le journal polonais Gazeta Wiborcza parle de groupes paramilitaires polonais qui agissent place Maidan. La place pullule également d’agents des services secrets occidentaux : ils l’ont fait en Syrie, pourquoi devraient-ils s’en priver à Kiev ? C’est même bien plus facile : Yanukovic, dictateur sanguinaire, apparait comme bien plus mou que Milosevic, un autre dictateur sanguinaire qui perdit la bataille des urnes au profit d’Otpor (parti fondé et amplement financé par les USA). Tout cela est du déjà-vu. Il reste un seul problème : Poutine n’est pas le premier venu.

                                Ce que nous avons devant les yeux, est-ce vraiment le « peuple ukrainien » ? Certes, ils sont des milliers, et même des dizaines de milliers à montrer leur rage populaire contre un régime inepte (pas plus inepte, toutefois, que certains anciens amis de l’Occident, comme Kravchuk, Kuchma, Yushenko, ou encore Tymoshenko), mais ceux qui tirent les ficelles sont facilement identifiables, même au travers des images télévisées. Il s’agit de la Galice, auparavant polonaise, et de la Transcarpacie.

                                Si Yanukovic tombe [c’est fait depuis hier – NdT] et que ces gens prennent le pouvoir, ce sera une diaspora sanguinaire.

                                Les premiers à fuir seront les russophones de l’est et du nord, les mineurs du Donbass, qui mettent déjà en place leurs défenses. Et immédiatement après, il y aura la Crimée, qui a déjà déclaré de façon pratiquement unanime vouloir rester partie intégrante de la Russie, sans doute aussi pour tenter d’échapper à la furie anti-russe de ceux qui prendront le pouvoir. C’est le début des sécessions, encore difficiles à deviner aujourd’hui, d’où découleront non pas des fronts militaires, mais des représailles sauvages à l’intérieur même de la communauté désormais privée de la solidarité.

                                L’Europe, en fidèle exécutrice des plans de Washington, a ouvert la Boite de Pandore. Et celle-ci lui explosera bientôt à la figure. Les nouveaux décideurs sont peut-être d’ores et déjà désignés (à condition que Poutine ait la garantie que ne soit pas franchi le Rubicon de l’adhésion [de l’Ukraine] à l’OTAN), mais ceux qui sont descendus dans la rue avec les armes ont une idée de l’Europe bien différente de celle que l’on imagine à Bruxelles. Et les personnes de bonne foi qui ont suivi les néonazis – et ils sont certainement très nombreux – s’attendent à entrer dans l’Europe dès demain. Ils seront terriblement déçus lorsqu’il faudra commencer à payer, et qu’ils ne pourront toujours pas y entrer, car cela n’est absolument pas prévu par les accords de Vilnius.

                                Le seul commentateur italien qui ait écrit quelque chose de sensé est Romano Prodi, mais il l’a fait dans le New York Times. S’adressant aux Européens, il les a invités à ne pas s’en prendre seulement à Yanukovic, mais à condamner également les rebelles. Et il a ajouté : « Impliquez Poutine [dans les négociations] », puisque toutes les parties ont « beaucoup à perdre et rien à gagner à de nouvelles violences ». C’est juste, mais aussi, très optimiste. Ceux qui ont préparé le festin veulent maintenant passer à table et ne s’arrêteront pas. Et l’hystérie anti-russe est le meilleur plat pour préparer de nouvelles aventures.

                                Giulietto Chiesa
                                Article intéressant pour nuancer les perspectives de nos médias.

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