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  • Merci de nous éclairer sur le contenu de ton post Madurk

    Mais mais à mon humble avis, dire que la majorité des rebelles sont des élèments étrangers au pays est tout autant une éxagération que dire que c'est des bisounours avide d'amour et de tolérance. Si certes, les kurdes et une partie des djihadjistes sont "extérieurs", il reste les factions laïques. Il ne faut pas oublier que ces rebelles sont une confédération de nombres d'organisations et de mouvements (Le nom de ce qui est "censé" être leur organe suprême, le Conseil National Syrien, parle pour lui même). Je pense aussi que Israël préfère avoir une frontière stable que un pays en état d'anarchie de l'autre côté du Golan. Bien que l'Iran est une menace pour Israël (moins que ce que certains disent, mais une menace), c'est la Syrie qui a une frontière et un accès terrestre à Israël.

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    • Avec toute la réserve intellectuelle nécessaire :

      La Russie aurait fourni à l’ONU des images satellites accusant les rebelles de l’attaque chimique d’Al Ghouta

      Selon un média algérien, Al Khabar, la Russie aurait produit, lors de la réunion en urgence du Conseil de Sécurité portant sur le massacre d’Al Ghouta, des images satellites montrant que 2 missiles chimiques auraient été tirés depuis une position rebelle.

      Selon Al Khabar, citant une source diplomatique syrienne de haut niveau, la présentation par la délégation russe de ces images appuyant la version défendue par la Syrie expliquerait le rapport du Conseil, indiquant vouloir « découvrir la vérité sur l’accusation du régime syrien qu’il aurait utilisé les armes chimiques sur la campagne de Damas, et nous accueillons la décision de l’Organisation des Nations Unies pour enquêter sur cette affaire », la délégation italienne déclarant elle « la délégation syrienne a présenté une vision qui mérite que l’on s’attarde dessus ». La France elle même aurait donné l’impression de prendre ses distances avec les rebelles, faisant porter la responsabilité intégrale des rapports qu’elle présentait sur la coalition de l’opposition.

      Le diplomate aurait également indiqué que ce serait la Russie qui aurait exigé la tenue d’une enquête, et que les images satellites américaines seraient concordantes avec celles fournis par les Russes. Elle a enfin indiqué, en réponse à l’évidente question « pourquoi les rebelles auraient ainsi agi » que le but était d’exploiter la présence de la commission d’enquête de l’ONU que Bashar el Assad vient d’accepter de recevoir en Syrie.
      Rappelons que nous apprenions hier que des rebelles avaient été arrêtés à la frontière turque en possession de 2 kg de gaz Sarin, démontrant ainsi à minima qu’aucun des camps en présence n’hésitait à verser dans le pire dans le conflit qui déchire la Syrie depuis plus de deux ans.

      source : http://jssnews.com

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      • Ce qui m'aurait étonné, c'est que la Russie ne présente rien contre cette intervention.

        De toute façon, il est plausible que les DEUX camps est usage de cette arme.

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        • http://www.lefigaro.fr/flash-actu/20...n=2#nbcomments

          Prenez-moi pour un con.

          Mouais ca me plait pas du tout cette affaire, et le très haute proportion de français qui sont contre la guerre montre que je ne suis pas le seul. On va encore mettre la main dans un bourbier pour les beaux yeux du roi de Prusse. Et vu les discours de Flambix et les mouvements de troupes en Méditerranée et à Chypre, ca me semble bien décidé tout cela. J'espère vraiment que la Russie montera au créneau et dira "niet, niet et encore niet" pour faire cesser cette folie.

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          • C'est clair que si Poutine s'en mêle... Bref, on ne parle pas à la Russie comme on essuie ses pieds sur l'Irak...

            Peut-être que dans 15 ou 20 ans mes enfants feront un let's play sur notre chaîne youtube, avec wargame airland battle "Fortress Damas" ...
            Dernière modification par elrond petit pas tapons, 27-08-2013, 17h01.

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            • En parlant de BHL, devinez qui est sur le plateau du grand journal entrain d'appeler à la guerre (en temps réel) ?

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              • Notre pseudo-philosophe adoré.

                Au fait, ils nous sortent ce guignolo à chaque fois que une puissance occidentale (Ou une coalition occidentale) part péter du barbu ou du moins barbu ?

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                • Il a même été récompensé par un Titre pour son action dans la guerre en Libye, mais quelle action ? On se le demande !

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                  • Du barbu voyez-vous cela ... Qu'entends-tu exactement par là ?
                    Et BHL, c'est l'outil que sortent les bellicistes pour donner une tournure humaniste et libératrice à leurs projets de guerre. Le problème, c'est qu'il n'a aucune crédibilité.
                    Dernière modification par Angelus, 28-08-2013, 03h07.

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                    • Barbu: Vague dénomination totalement injustifiée pour parler de fanatiques religieux. Cette dénomination est caricaturale et utilisée quand Godwinsson est trop feignant pour préciser. Pour parler de fanatiques ou autres non religieux, le terme "non barbu" est utilisé par la même personne.

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                      • Attention à ce que tu dis. Harlem Désir rôde.

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                        • Ouais enfin c'est limite de parler de fanatiques religieux dans ce cas de figure ...
                          Attention, la Garde de fer rode.
                          Bref, toujours est-il que je ne crois guère à une intervention militaire, il s'agit d'intimidation selon moi.

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                          • Envoyé par Angelus Voir le message
                            Bref, toujours est-il que je ne crois guère à une intervention militaire, il s'agit d'intimidation selon moi.
                            Je ne pense pas à une simple intimidation, d'autant que si on se demande quelle en serait la portée on verra bien qu'elle est nulle. Dans le bourbier syrien l'indimidation n'a aucune finalité puisque Assad ne partira pas de lui même comme ça, au motif qu'on fourbit nos canons.

                            La réalité sur le terrain c'est un ballait ininterrompu de C130 sur les 2 bases de l'OTAN du coté de Chypre. Qu'est ce que c'est ? des munitions à gogo pour pouvoir bien se défouler pendant 2 jours à tout péter. Pas d'intervention au sol et des sorties aérienne uniquement pour tirer des missiles depuis l'espace aérien international sans jamais pénétrer une zone de défense qui pourrait s'avérer couteuse. Les américains vont claquer un truc comme 600-800 M€ en 48 heures et ce sera terminé de l'opération Fuck the monster. La France participera, comme l'Angleterre avec des missions aériennes porteuses de missiles de croisière, rien qui ne mettra personne en danger (ça se tire de loin) ; les allemands fournirons des contingents logistiques en Turquie ou quelques trucs annexes histoire de dire qu'ils étaient là et d'inspirer la force européenne à l'oeuvre dans une unité pour ainsi dire religieuse.

                            Le mot est laché depuis hier : punir. Mais peut être peut on s'interroger sur la légitimité de l'action. Car les opinions publiques sont défavorables à une intervention (ici comme ailleurs), surement pour des questions de coût, marre de payer pour élever le niveau de civilité internationale au bout du compte ; au nom de la communauté internationale serait idéal mais elle ne parvient pas à un consensus et du coup l'expression démocratique global en prend un sérieux coup. Au nom de quoi alors ? De la grandeur d'âme de nos dirigeants, je sais, c'est peu et piètre mais que voulez vous, il faut laisser faire ceux qui savent.

                            Sans résolution de l'ONU donc, on va faire de l'ingérence, épauler la progression au sol des djihadistes (qui se feront péter la gueule sur les marchés une fois le nouvel ordre instauré, Irak bis le retour), déclarer une action illégal au regard du droit international et punir à l'aide d'un arbitrage dont on est juge et parti. Nous sommes tous d'accord pour concevoir qu'Assad et le merdier en Syrie doivent être modéré mais pas en nous lançant dans des actions bellicistes illégales.

                            "La France est prête à punir", F. Hollande

                            Que va t on faire ou dire quand la Russie voudra "punir" ou quand la Chine se permettra de le faire ? On a le droit de "punir" d'autres pays comme ça juste grace à notre bon vouloir ? Les instances internationales sont garantes que justement les états ne puissent pas oeuvrer dans ce genre d'optique ; on démontre là que l'ONU n'est qu'un outil pour affirmer la/les politiques occidentales et dont on fait fie quand ça nous arrange. Et bien c'est dangereux car ça dénature et décridiblise l'autorité garante de la légalité de la statiblité mondiale. Piétiner nos propres institutions quand elles ne vont pas assez dans notre sans est moralement douloureux et extrèmement domageable. On ne devrait pas agir sans mandat nous y autorisant et on aura bien du mal à s'offusquer si d'autres le font par la suite. Les principes, les règles, les lois, c'est pas que quand ça nous arrange, on fait une grave erreur en démontrant que la SDN(!) ne sert absolument à rien.

                            Il est question de demain pour la guerre à la télé, va y avoir des belles images de missiles décollant de destroyer et des cartes avec des petits points incandescent pour nous montrer combien on est fort. Hélas on ne nous montrera pas les rebelles (sic) sur le terrain et le super boulot qu'ils font à l'arme blanche, ni même les perspectives d'un marché tranquille dans 1 an avec 80 morts décharnés suite à une attaque suicide.

                            Faire la guerre pour la guerre c'est stérile, comme entendu ce matin "sans projet politique l'action militaire est vaine et on n'a pas de projet politique pour la Syrie".
                            Dernière modification par Aaltar, 28-08-2013, 08h16.

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                            • Barbouzerie dans la cyberwarfare :

                              CHINE. Des millions de sites hackés : "Une mise en garde"

                              Le web chinois a essuyé une cyberattaque d'une ampleur considérable. Les défenses ont été balayées pendant près de 24 heures.

                              Le réseau chinois a été la cible d'une cyberattaque sans précédents dimanche 25 août, à deux heures du matin (heure locale), qui s'est intensifiée deux heures plus tard. Une agence semi-gouvernementale chinoise a reconnu qu'il s'agissait de "l'attaque la plus importante enregistrée à ce jour".

                              Des millions de sites affublés de l'extension "cn", le Twitter chinois "Weibo" y compris, ont subi une attaque "de déni de service". Soit un hacking basique qui inonde les serveurs de requêtes, conduisant au blackout du réseau. Le plus souvent, l'agression est lancée depuis un poste anonyme, "ricoche" de serveur en serveur et rend l'origine de l'attaque intraçable. Lundi matin, le réseau fonctionnait à nouveau. Dans la foulée, le Centre chinois d'information sur les réseaux internet (CNNIC) s'est excusé auprès de ses utilisateurs pour l'attaque et a promis de renforcer les systèmes de défense à l'avenir.

                              Interviewé sur "China real time report", un blog du "Wahington Post", l'expert américain en renseignement indépendant Matthew Aid estime que ces attaques "ont signalé la vulnérabilité du web chinois face à des agressions extérieures". Avant d'ajouter : "Si tous les sites internet chinois peuvent être hackés avec une simple attaque par déni de service, leur réseau est plus vulnérable que nous le pensions."

                              "Une mise en garde"


                              Pour Benjamin Ismaïl, responsable du bureau Asie à Reporters sans frontières (RSF), ces faiblesses ne sont pas un fait isolé : "Des sites gouvernementaux ont déjà été hackés dans le passé, notamment celui de la Maison Blanche", en novembre 2012. "Pourquoi pas le réseau chinois aujourd'hui ? Tous les sites sont vulnérables, y compris celui du ministère des Affaires étrangères français."

                              Comment expliquer cette vulnérabilité ? "La Chine peut avoir une armée de hackers pour trouver des failles dans les réseaux étrangers, mais manquer peut-être de personnel pour assurer ses propres défenses", avance Benjamin Ismaïl.
                              Deux pistes sont privilégiées pour expliquer les motivations d'un tel hacking : soit il s'agirait d'une attaque lancée en représailles par des blogueurs et des défenseurs des droits de l'homme chinois, arrêtés par centaines depuis l'arrivée au pouvoir de Xi Jinping. Soit l'agression viendrait des Etats-Unis, en réponse aux attaques du réseau américain qui émanerait de Chine. "Quoi qu'il en soit, cette attaque est une mise en garde", conclut Benjamin Ismaïl.

                              Source : nouvelobs

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                              • Petite revue des troupes :

                                Armée syrienne : ce à quoi seront confrontés les occidentaux en cas d'intervention militaire

                                "Nous avons des moyens de défense qui vont surprendre les autres", a indiqué mardi 27 août le ministre syrien des Affaires étrangères, Walid Mouallem. Une allusion aux États-Unis et à ses alliés, qui envisagent de plus en plus sérieusement des frappes contre le régime de Bachar al-Assad. Puissant allié de la Syrie, la Russie a également mis en garde les capitales occidentales menées par les Etats-Unis. "Ce ne sera pas une victoire facile", a ainsi déclaré une source militaro-diplomatique russe, citée mardi par l'agence Interfax.

                                De quels moyens militaires dispose le régime Syrien? La réponse à cette question explique en partie pourquoi la communauté internationale n'a pas réagi jusqu'alors. "On disait que l'armée syrienne allait rapidement perdre le conflit. C'était il y a deux ans et elle est en passe de le gagner", indique au HuffPost Philippe Migault, spécialiste des conflits armés et directeur de recherches à l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS).


                                Selon lui, il ne faut surtout pas sous-estimer la force de frappe syrienne, sans commune mesure avec les moyens dont disposait la Libye de Mouammar Kadhafi avant l'intervention militaire de l'OTAN en 2011. Même si elle reste sur le papier l'une des plus importantes du monde arabe, derrière la Jordanie notamment, l'armée syrienne a vu ses capacités largement entamées par deux ans de guerre civile.


                                L'armée syrienne compte en théorie 178.000 hommes dont 110.000 dans les forces terrestres, 5000 dans la marine, 27.000 dans l'armée de l'air et 36.000 dans la défense aérienne. Par ailleurs, une partie des 314.000 réservistes à disposition de l'armée de terre au début du conflit a déjà été mobilisée. 4000 hommes peuvent également venir grossir les rangs de la marine, 10.000 ceux de l'armée de l'air et 20.000 autres ceux des forces de défense aérienne.


                                A cause de la désorganisation due à la guerre civile, l'IISS ne s'estime plus en mesure d'estimer avec précision les effectifs des forces paramilitaires (qui ne font pas partie de l'armée). Or, ces troupes jouent un grand rôle dans les affrontements contre l'insurrection depuis deux ans. En 2009, elles étaient estimées à 108.000 dont 8000 pour la gendarmerie, sous l'autorité du ministère de l'Intérieur, et 100.000 dans la milice populaire du parti Baas, au pouvoir depuis 1963.
                                Ces chiffres impressionnants (l'armée de terre française compte à peine 100.000 hommes) doivent toutefois être revus à la baisse après deux années de conflit. "Les capacités nominales d'avant guerre de l'armée ont probablement été divisées par deux en raison des défections, des désertions et des pertes subies", écrivent les experts de l'IISS.


                                "Faire carrière dans l'armée syrienne avait quelque chose de déshonorant" et de nombreux Sunnites se sont refusés à l'intégrer, indique Philippe Migault. En conséquence, les alaouites, la minorité dont est issue Bachar al-Assad, ont récupéré les postes les plus importants. Après deux ans de conflit face aux sunnites radicaux et aux islamistes qui leur promettent la mort, alaouites et chrétiens n'auront d'autre choix, même en cas d'intervention occidentale, que de rester fidèles à Bachar al-Assad. "Leur survie en dépend", estime le chercheur.


                                L'IISS estime que les forces d'élite sur lequel le régime est sûr de pouvoir compter sont au nombre d'environ 50.000 hommes. "Des forces solides et disciplinées", juge Philippe Migault.

                                UN EQUIPEMENT LOURD ET PERFORMANT


                                L'armée syrienne est équipée d'un matériel essentiellement d'origine russe voire soviétique et comptait avant le début des affrontements 4.950 chars. "Ce chiffre a été réduit de façon significative pendant la guerre civile", précise l'IISS. Le régime dispose également d'un important arsenal de missiles, dont le commandement se trouve à Alep (nord).


                                L'armée de l'air a en principe 365 appareils de combat (555 en 2009, deux fois plus qu'en France), la plupart d'origine soviétique. Là aussi, ces chiffres d'avant-guerre sont certainement aujourd'hui bien inférieurs, et selon l'IISS "le niveau de capacité opérationnelle d'une importante partie de la flotte aérienne est probablement faible". L'aviation de combat syrienne, même diminuée, offre toutefois un avantage crucial au régime. "Détruire l'aviation et la marine syrienne ne serait pas un soucis pour les occidentaux, indique néanmoins Philippe Migault, il suffit de viser les pistes d'atterrissage et les ports". Trois navires et 24 avions de combat suffiront pour rendre les forces aériennes syriennes incapables de combattre l'opposition, estimait début août un analyste militaire américain.


                                Les forces de défense aérienne ont semble-t-il été moins affaiblies par les combats et disposent de plusieurs milliers de missiles sol-air de fabrication russe, dont certains sont récents et potentiellement efficaces. "En tirant des missiles à 1200 ou 1300 kilomètres de la cible, les alliés ne prendraient aucun risque mais leurs frappes n'auront qu'un impact relatif, note ainsi le chercheur de l'IRIS. En revanche, des frappes aériennes les exposeraient à de lourdes pertes."
                                Par ailleurs, pousuit Philippe Migault, le régime de Damas a largement eu le temps de déplacer ses armes dans des zones résidentielles. Des frappes, même ciblées, entraîneraient de lourdes pertes civiles.

                                UN MYSTERIEUX ARSENAL CHIMIQUE


                                L'arsenal chimique syrien est considéré comme l'un des plus importants au Moyen-Orient. Les données publiques étant quasi-inexistantes, il reste difficile d'en mesurer l'ampleur. Le pays dirigé par la famille al-Assad depuis le début des années 70 est l'un des rares à ne pas avoir signé la Convention sur l'interdiction des armes chimiques et n'est donc pas membre de l' OIAC, chargée de contrôler son application.


                                Débuté dans les années 1970, avec l'aide de l'Egypte puis de l'ex-URSS, le prgramme chimique syrien a notamment été créé dans le but de contrebalancer le programme nucléaire d'Israël. "La Russie dans les années 1990 puis l'Iran depuis 2005 lui ont également fourni un soutien", affirme la Nuclear Threat Initiative, une organisation indépendante recensant les données disponibles sur les armes de destruction massive.


                                De la dernière génération d'armements chimiques (gazs sarin et VX) aux agents plus anciens comme le gaz moutarde, l'armée syrienne disposerait de "centaines de tonnes" d'agents chimiques selon un expert au centre d'études sur la non-prolifération à l'Institut Monterey aux Etats-Unis. "Leur panoplie d'agents chimiques est assez robuste", estime aussi un spécialiste français à la Fondation pour la recherche stratégique.


                                A titre de comparaison, le régime du colonel Mouammar Kadhafi (qui avait rejoint en 2004 l'OIAC), devait encore éliminer 11,5 tonnes de gaz moutarde, soit 45 % de son stock initial, lorsque la rébellion s'est déclenchée en février 2011.

                                Source : huffingtonpost

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