Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Et pour revenir au sujet de la robotique

    lol :

    Commentaire


    • Je pensais pas que la France en est fait autant...

      Commentaire


      • Classe on est troisième !

        Commentaire


        • Les champions, ça reste "le leader du monde libre" comme ils aiment s’appeler .

          Commentaire


          • la vidéo sur les essais nucléaire est vraiment impressionnante.

            Commentaire


            • Bientôt une bombe nucléaire pour l’Arabie saoudite ?

              L'Arabie saoudite voudrait disposer de l'arme nucléaire du Pakistan "en cas de nécessité absolue", révèle la BBC, se référant à plusieurs sources haut placées du gouvernement américain et du commandement de l'Otan", écrit vendredi 8 novembre le quotidien Izvestia.

              L'une de ces sources, Gary Samore, ancien conseiller d'Obama pour la non-prolifération de l'arme nucléaire, a notamment déclaré que "Riyad est convaincu qu’il existe un accord avec le Pakistan prévoyant la mise à disposition de l'arme nucléaire pour les Saoudiens en cas de nécessité.

              Une autre source, cette fois anonyme et proche du commandement de l'Otan, affirme que selon les services de renseignements les ogives nucléaires pakistanaises seraient déjà prêtes à être envoyées en Arabie saoudite.

              Selon Roudik Iskoujine, expert du Moyen-Orient, les services de renseignement saoudiens et pakistanais travaillent en étroite collaboration depuis plusieurs décennies et le riche Etat arabe aurait très certainement pu financer le programme nucléaire d'Islamabad.

              "L'Arabie saoudite pourrait être impliquée dans la fabrication par le Pakistan de sa propre bombe nucléaire, de même qu'elle a participé au développement d'armements modernes dans beaucoup d'autres pays du monde arabe. Cet argent était, pour les Saoudiens, une sorte d'investissement dans la lutte contre Israël', analyse Roudik Iskoujine.

              Et peu importe si Islamabad a développé son programme nucléaire en l'orientant avant tout sur l'Inde. Une arme aussi redoutable, entre les mains du Pakistan, serait de toute façon une
              "bombe de châtiment islamique" si elle était utilisée.

              Aujourd’hui pour l’Arabie saoudite, Israël a cédé sa place d'ennemi numéro 1 à l'Iran qui, selon certaines informations, poursuit le développement de sa propre arme nucléaire malgré la pression internationale. Selon certains chercheurs, notamment du respectable Institut américain pour la science et la sécurité internationale, Téhéran dispose déjà de toutes les technologies nécessaires et d’une quantité suffisante d'uranium enrichi pour terminer la fabrication de la bombe nucléaire.

              Le programme nucléaire de l'Iran chiite a tenu en haleine les sunnites saoudiens pendant des années. L'an dernier le roi saoudien Abdallah aurait même annoncé que son pays chercherait les moyens de se doter de l'arme nucléaire si l'Iran arrivait à fabriquer sa propre bombe, selon les diplomates américains.

              "Le Pakistan n'a pas signé le Traité de non-prolifération de l'arme nucléaire : rien ne l'empêche d'envoyer ses ogives en Arabie saoudite. De plus, le pays dispose de ses propres missiles de moyenne portée, qui pourraient également être livrés à Riyad", estime l'expert militaire Dmitri Litovkine.

              D'après les sources ouvertes des renseignements israéliens, depuis la fin des années 1980 l'Arabie saoudite a activement travaillé sur la création de son propre matériel balistique d'une portée de 300 km. Par conséquent, il se pourrait qu'Islamabad n'ait à fournir que des ogives pour les vecteurs saoudiens. Il est à noter que Riyad prône un "Moyen-Orient non nucléaire" – c’est pourquoi il avait renoncé au développement de son propre programme nucléaire.

              Source : Rianovosti
              Bah voyons...

              Commentaire


              • La Russie relance son projet antisatellite

                En Russie la commission parlementaire chargée des questions de Défense va suggérer au président et au gouvernement de relancer le système de haute précision pour abattre les satellites en orbite basse et intercepter des missiles, écrit vendredi le quotidien Izvestia.

                Les députés estiment que ce projet permettra à la Russie de conserver ses positions dans le secteur de la défense spatiale. Les experts pensent toutefois que relancer cette initiative datant de l’URSS est impossible sans une profonde modernisation de l'industrie militaire.

                Les membres de la commission ont noté dans leurs recommandations, à l'issue des auditions de novembre, qu’il faudrait reprendre les travaux sur le complexe sol-air Kontakt destiné à neutraliser les satellites de navigation et de transmissions.

                Le complexe conçu au début des années 1980 par le bureau d'études Almaz comprend un système de détection radar et optique terrestre, ainsi qu'une version spéciale de chasseurs MiG-31D - cet appareil embarque un seul missile de 10 mètres de long capable d'atteindre un satellite à 120 km d'altitude avec une ogive à fragmentation.

                A l’époque la station terrestre se situait au Kazakhstan sur le polygone de Sary-Chagan et transmettait à l'avion les coordonnées du satellite. Selon l'idée des ingénieurs, le système Kontakt pouvait neutraliser en 36 heures jusqu'à 24 cibles en orbite. Le projet a été abandonné dans les années 1990.

                Le vice-président de la commission Frants Klintsevitch a expliqué que le système Kontakt serait nécessaire pour attaquer les satellites mais aussi pour se défendre. Selon lui, on ne peut pas se permettre le moindre retard dans les tendances militaires contemporaines.

                Anatoli Sitnov, ex-responsable du ministère de la Défense, a souligné que les Etats-Unis disposaient déjà d'un drone aérospatial remplissant les missions du complexe Kontakt – le Boeing X-37B.

                "Les USA possèdent un appareil capable de rester en vol contrôlé pendant 11 à 12 mois. Il s'agit en fait d'un vaisseau spatial capable d'approcher un satellite et de le sortir de son orbite avec une arme à feu ou un laser", a-t-il déclaré.

                Anatoli Sitnov a ajouté que l'aviation jouerait un rôle décisif en cas d'attaque spatiale mais qu’il sera impossible de relancer le programme Kontakt sans une préparation préalable des entreprises de l'industrie électronique.

                Il est indispensable d'utiliser des technologies modernes pour relancer les recherches suspendues sur le projet Kontakt, confirme Andreï Zverev, directeur général du holding Roselektronika du groupe Rostekh.

                "Il est insensé de recréer une base modulaire électronique datant de plus de 20 ans. Les technologies ont fait beaucoup de progrès depuis. L'industrie radioélectronique russe sait comment satisfaire les besoins des militaires en composants électroniques modernes mais elle ne peut pas le faire sans le soutien de l'Etat", souligne Andreï Zverev.

                Le président russe Vladimir Poutine a également souligné l'importance du développement des armements stratégiques non nucléaires et des moyens de neutralisation le 12 décembre dans son allocution devant l'Assemblée fédérale. Il a souligné qu'il fallait préparer une réponse digne à une "frappe globale désarmante instantanée".

                "Nous savons parfaitement qu’un système de défense antimissile n’a de défensif que le nom. En réalité il représente une partie conséquente de notre potentiel stratégique offensif. Autre point important : le développement de nouveaux systèmes d'armements tels que les engins explosifs nucléaires de faible puissance, les missiles stratégiques non nucléaires, les systèmes hypersoniques non nucléaires de haute précision destinés à frapper rapidement et sur une longue portée", a conclu le président russe.

                Source : ria novosti

                Commentaire


                • L’armée américaine teste un laser tueur de drones



                  L’armée américaine a testé avec succès un laser mobile de grande puissance destiné à détruire des cibles aériennes (source : US Army).

                  Lors des essais qui se sont déroulés du 18 novembre au 10 décembre 2013 sur le polygone militaire du Nouveau-Mexique, le laser de combat HELMD (High Energy Laser Mobile Demonstrator) d’une puissance de dix Kilowatts, a réussi à détruire plus de 90 obus de mortier et plusieurs drones. Le laser était monté sur un véhicule terrestre à huit roues.

                  À l’avenir, ce laser devrait être remplacé par un de 50 Kilowatts et ensuite par un de 100 Kilowatts, ce qui permettra d’abattre des cibles aériennes se déplaçant à grande vitesse.

                  Le 13 octobre 2013, les États-Unis avaient testé ce laser aéroporté de haute puissance embarqué à bord d’un Boeing C-130H. L’avion avait décollé de la base aérienne de Kirtland près d’Albuquerque pour aller détruire un véhicule en mouvement sur le polygone militaire de White Sands au Nouveaux-Mexique.

                  Le programme HELMD est géré par Boeing IDS (Integrated Defense Systems).
                  On passe à une nouvelle gamme d'engins. Jusque là les lasers c'étaient des grosses armes embarquées principalement sur des navires de guerre et dans des perspectives plus expérimentales qu'autre chose. Là on voit arriver quelque chose de plus disponible et opérationnel. Les drones étant la perspective montante (en flèche) en terme d'armement, je pense qu'il était urgent pour les armées modernes de se doter rapidement d'un moyen de neutralisation. La perspective est de pouvoir engager et prendre pour cibles surtout les réalisations iraniennes dont le niveau est certes actuels mais très en dessous de ce que peut aligner la Chine ou la Russie prochainement.

                  Commentaire


                  • Le Japon, appuyé par Washington, renforce son armée face à la Chine

                    Le gouvernement japonais a approuvé la nouvelle Stratégie de sécurité nationale. Presque 70 ans après la Seconde guerre mondiale, Tokyo s'engage dans un pacifisme actif fondé sur les principes de la coopération internationale, écrit mercredi le quotidien Izvestia.

                    Le budget militaire augmentera de 5%, c'est-à-dire que 240 milliards de dollars seront alloués à la défense du pays entre 2014 et 2019. Cette somme permettra d'acheter trois drones, 28 bombardiers Stealth F-35, cinq sous-marins, deux destroyers équipés du système antimissile Aegis, ainsi que 52 navires de débarquement amphibies pour la Force d'autodéfense japonaise. Dans les années à venir il est également prévu d'augmenter les effectifs de l'armée japonaise de 5 000 personnes (ses unités de combat comptent aujourd'hui 154 000 hommes pour un total de 247 000 personnes).

                    "Le choix des armements révèle les tâches fixées à la Force d'autodéfense japonaise : les drones pour le renseignement, les bombardiers pour l'offensive et les navires amphibies pour faire débarquer les troupes sur des îles", explique l'expert militaire Dmitri Litovkine.

                    Conformément au nouveau programme de défense nationale, les amphibies sont destinés à protéger les îles japonaises éloignées du territoire du pays - avant tout les îles Senkaku (Diaoyu) en mer de Chine orientale, revendiquées par Pékin. La défense antimissile est destinée à détecter et à protéger le pays contre les missiles nord-coréens.

                    Le renforcement de l'armée entraînera une hausse des commandes militaires et contribuera au développement économique du pays, qui arrive difficilement à combattre sa dette profonde de 200% du PIB.

                    La Chine est préoccupée par cette situation et demande aux autorités japonaises de prouver leur engagement pour la paix, en paroles comme en actes. Dans la soirée du 17 décembre l'agence de presse centrale de Chine, Xinhua, a publié un article signalant la "renaissance du militarisme japonais" et a même inventé un slogan en jouant avec le nom du premier ministre japonais : "Oublie l'Abeéconomie, crains l'Abeguerre".

                    "Pékin tiendra compte des plans du Japon et ajustera ses propres projets en élaborant un nouveau matériel et en augmentant le nombre d'unités déjà existantes. Étant donné que la différence des potentiels économiques augmente constamment en faveur de Pékin, cela ne lui posera aucun problème", a déclaré Alexandre Lomanov de l'Institut de l'Extrême-Orient.

                    Il faut probablement s'attendre, dans les jours à venir, à un serment de colère nord-coréen adressé aux "marionnettes américaines de Tokyo", dès que la Corée du Nord aura commémoré la mort de Kim Jong-il, décédé le 17 décembre 2011.

                    L'indignation de Pékin ou de Pyongyang n'arrêteront pas Tokyo. Le premier ministre

                    Shinzo Abe doit gagner en popularité auprès de ses électeurs, sachant qu'il est arrivé au pouvoir en promettant de relancer l'économie et en adoptant une position ferme sur les litiges territoriaux, notamment concernant les îles Senkaku.

                    Il s'agit donc bien ici d'une réaction du Japon aux provocations incessantes de Pékin, qui a instauré récemment une zone de contrôle aérien traversant ces îles.

                    Le Japon peut difficilement concurrencer la Chine à lui seul : sa réaction est appuyée par Washington, qui appelle depuis des mois Pékin à éviter de faire des gestes brusques. Et cela ne concerne pas uniquement le Japon. En renforçant sa présence militaire à l'ouest du Pacifique l'Amérique cherche à équilibrer l'influence croissante de la Chine.

                    Dans la soirée du 17 décembre, le secrétaire d'Etat américain John Kerry a déclaré à Manille que les litiges autour des territoires tels que Senkaku, les îles Paracels et Spratleys en mer de Chine méridionale revendiqués par la Chine, le Vietnam, les Philippines et d'autres pays, devaient être réglés de manière pacifique.

                    La veille, les USA ont alloué 32,5 millions de dollars aux pays d'Asie du Sud-Est, notamment au Vietnam, pour renforcer la sécurité maritime sur les territoires contestés. Pékin a immédiatement menacé d'instaurer une nouvelle zone de contrôle aérien en mer de Chine méridionale.

                    Selon Kerry, si Pékin prenait des mesures unilatérales, Washington ferait connaître sa position. L'influence des États-Unis doit être appuyée par un accord de partenariat Transatlantique en cours d'examen, dont l'Amérique est l'actrice principale. Ce partenariat devrait inclure la plupart des pays de la région à l'exception de la Chine, créant une zone de libre échange entre les pays membres et renforçant leurs liens mutuels.
                    Coup de tonnerre ! coup de semonce.

                    Jusque là les américains étaient réticents à l'idée de voir le Japon de retour dans une militarisation soutenue. La doctrine change, les enjeux aussi.

                    L'Amérique qui sait qu'elle va récupérer des marchés laisse finalement faire la croissance militaire nipponne qui n'est pour eux pas si mauvaise (nippone, ni mauvaise, humour de merde, désolé). Si l'Amérique doit pouvoir compter sur des alliés en cas d'éclatement régional, elle doit surtout convenir que ces derniers doivent être en mesure d'aligner des forces autrement qu'en proposant des solutions logistiques, qui pourrait d'ailleurs être relativement mises à mal très rapidement en cas de conflit. Le fait que le Japon puisse recourir à ses propres forces note un changement dans la doctrine us. Raison budgétaire oblige, ce qu'ils conçoivent en réduction brutes en interne, ils le concèdent en externe ; in fine c'est surtout tout bénef pour leur firmes militaires.

                    Le risque en tenant mordicus c'est que le Japon force les choses et se distance de son allié us, il fallait trouver un consensus et il passe par la case de la remilitarisation du Japon. Espérons juste que ce retour militariste n'ait pas trop de conséquence sur le moyen terme...

                    Commentaire




                    • Etant tombé là dessus samedi soir (sur RMC), j'avoue avoir été quelque peu interloqué...
                      Dernière modification par Aaltar, 06-01-2014, 11h41.

                      Commentaire


                      • Tu rigoles j'espère, moi j'ai regardé la même émission avec des biaires et un pote, et on s'est bien marré tout le long sur leurs théories merdiques!

                        Commentaire


                        • Moi je me suis arrêté à 3 minutes, j'en pouvais plus. Je le garde dans un coin pour le regarder avec des gens un autre jour

                          EDIT : En plus je suis sûr d'avoir déjà vu la moitié des intervenants dans un reportage qui affirmait qu'il y avait déjà eu des épidémies de zombies à travers l'Histoire.
                          Dernière modification par Archange, 06-01-2014, 11h46.

                          Commentaire


                          • Ben bien sûr que ya des épidémies de zombies ! Tous ceux qui regardent la télé réalité tu crois que c'est quoi ?

                            Commentaire


                            • Spoiler:



                              Plus sérieusement, c'est ce genre de documentaires qui font que les extra-terrestres ne viendront jamais communiquer avec nous.
                              On atteint le pinnacle du "c'est pas notre faute si c'est arrivé". Non, c'est pas le peuple allemand qui a mis Hitler au pouvoir, c'est les extra-terrestres. Et les Anciens.
                              Hitler qui manipule le temps et l'espace... Dans ce cas-là, pourquoi il a pas réduit la Russie à la taille du Luxembourg, et accéléré l'opération Barbarossa ? Hein ? Hein ?
                              Bientôt on nous dira que c'est pas la faute des extra-terrestres en fait, mais c'est parce qu'Hitler était fait de matière noire, parce que la matière noire c'est un truc ô combien étrange et ô combien mystérieux, et que c'est parce qu'il était fait de matière noire qu'il était très très méchant.


                              Spoiler:
                              Dernière modification par Elanion, 06-01-2014, 15h00.

                              Commentaire


                              • Envoyé par Zaariel Voir le message
                                Tu rigoles j'espère, moi j'ai regardé la même émission avec des biaires et un pote, et on s'est bien marré tout le long sur leurs théories merdiques!

                                disons qu'il était tard et que j'étais resté soucieux de la problématique posée au sujet des déplacement des pierres de 1200 tonnes

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X